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Les dépenses mondiales effectuées par les utilisateurs d'applications mobiles ont atteint des sommets, atteignant près de 65 milliards de dollars.
Les boutiques en ligne opérées par Apple et Google ont vu leurs revenus s'envoler, au moment même où les géants californiens font face à l'hostilité croissante de nombreux développeurs pour les strictes conditions qu'ils imposent sur leurs plateformes.
65 milliards de dollars
Selon une enquête du cabinet d'études Sensor Tower publiée lundi, les dépenses liées aux applications mobiles se sont élevées à près de 65 milliards de dollars (60 milliards de francs). Une hausse de 25% par rapport à la même période l'an dernier:
- 41.5 milliards de dollars ont été dépensés sur l'App Store d'Apple
- 23.4 milliards de dollars sur Google Play entre janvier et juin.
Tik Tok, superstar
La plateforme de vidéos légères TikTok arrive en tête des applications ayant généré les recettes les plus importantes avec 920 millions de dollars pendant la première moitié de l'année, soit une hausse de 74% par rapport à la première partie de 2020. Elle devance le site de partage de vidéos YouTube, propriété de Google, où les utilisateurs ont dépensé quelque 565 millions de dollars.
«Bien que les dépenses des consommateurs pour les jeux mobiles progressent à un rythme moins rapide que l'an dernier, cela n'indique pas un ralentissement du secteur, mais plutôt une normalisation après un pic d'intérêt lié aux circonstances extraordinaires de la pandémie de Covid-19»
Cabinet d'études Sensor Tower
Les revenus liés aux jeux mobiles ont totalisé 44,7 milliards de dollars (+18%) de janvier à juin. Le jeu Honor of Kings, développé par le géant chinois Tencent, a été le plus lucratif du marché mobile, générant 1,5 milliard de dollars au premier semestre. (ats)
Va-t-il choisir un fou, une ennemie ou une amoureuse transie comme vice-président? Alors que le principal intéressé fait mine de se ficher éperdument de son colistier, la liste des papables s'allonge. Et ça dit beaucoup de la santé du parti républicain.
Treize semaines, c'est peu. Le 15 janvier prochain, le caucus de l'Iowa dégoupillera officiellement la sélection du candidat républicain pour la présidence américaine. Dans l'histoire, jamais un lièvre n'a pu, à ce stade du processus, bénéficier de l'avance détenue actuellement par Donald Trump dans les sondages. C'est sans doute l'une des raisons qui font naître un débat précoce et animé sur l'identité de son vice-président potentiel. Trump, lui, joue la montre et s'amuse régulièrement avec cette question, en semant autant le doute que des indices.