Il a beau nous avoir accoutumés aux déclarations improbables, Kanye West ne cessera jamais de nous surprendre. Jeudi, l'artiste s'est fendu d'une série de messages sur les réseaux sociaux où il mêle tous azimuts Hollywood, Playboy, son ex-belle-mère, ainsi qu'Hillary Clinton, Mark Zuckerberg et l'animateur radio Charlamagne tha God. Mais oui, tout ça. Et plus encore.
Dans un premier commentaire publié sous une photo de Victoria Villarroe, ancienne assistante du clan Jenner, Kanye West l'a priée de ne pas céder à la tentation de poser pour Playboy. Par la même occasion, il a confessé sa dépendance à la pornographie et les ravages de cette addiction sur sa vie de famille:
Dans un autre message énigmatique publié dans la foulée, «Ye» a salué «Hillary» (Clinton) et «Mark» (Zuckerberg), ainsi que le rappeur Charlamagne tha God, avec lequel il s'est disputé par le passé, avant de déclarer qu’il allait se «retirer d’Instagram».
Quoi qu'il en soit, quatre heures après leur publication, toutes les stories avaient disparu du profil du chanteur iconique.
Dans une énième story, également supprimée depuis, le rappeur américain a partagé avec ses abonnés une capture d'écran de messages échangés avec une interlocutrice, dont on peut déduire raisonnablement qu'il s'agit de son ex-femme, Kim Kardashian.
Dans une autre bribe de conversation partagée par Kanye, son ex-épouse lui transmet un message de la part de sa mère, Kris Jenner:
Depuis 2019 en effet, Kanye West critique abondamment son ancienne belle-mère pour avoir prétendument tenté de «l'enfermer», suite à ses problèmes psychiatriques et à sa bipolarité.
Dans une ultime, longue et incompréhensible tirade, Kanye West a déclaré: «Quiconque dit que je me trouve dans une spirale lorsque j'exprime des vérités indéniables est un mouton». Avant de prier poliment les gens de «fermer leur gueule et de s'inquiéter pour leurs propres enfants».
«J'ai tout simplement raison. Je connais des filles qui vendent des chattes et qui ne sont pas d'accord avec la façon dont mes filles sont présentées», ajoute le rappeur. Avant de conclure finalement qu'après avoir été «rendu fou», il n'allait pas laisser cela se reproduire. «Je ne m'arrêterai pas tant que je n'aurai pas mon mot à dire sur mes enfants, peu importe ce que cela coûte légalement.» Vous n'avez rien compris? Pas grave. Kanye West a fait... du Kanye West. (mbr)