Les chutes de neige de ce dimanche à Pékin et Yanqing ont changé la face de ces JO et ces images le prouvent.
Cet article est également disponible en allemand. Vers l'article 13.02.2022, 16:0913.02.2022, 16:20
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Dans la région de Yanqing – ou des courses de ski et les épreuves sur glace se déroulent lors de ces Jeux olympiques –, il tombe, en moyenne, moins de 400 millilitres de précipitations par an. Ce sont des quantités comparables à ce que l'on retrouve au Maroc ou en Erythrée. Entre janvier et février, on compte, d'ordinaire, un jour de précipitations cumulées. La région est pratiquement un «désert».
Lors d'un hiver qualifié d'«humide», il tombe peut-être dix centimètres de neige en temps normal. Le début des Jeux a donc été marqué par des pistes blanches serpentant à travers des montagnes brunes. 👇
Bild: sportfanatics.ch
Mais surprise ce dimanche! Plus d'un demi-mètre de neige fraîche est tombé à Pékin, et également dans les autres villes organisatrices. Ce phénomène anormal fait la grande joie des athlètes et aussi des nombreux bénévoles. Enfin, les Jeux d'hiver ont un look hivernal.
Soudain, les montagnes de Yanqing sont devenues blanches...Bild: keystone
Les Ghostbusters bénévoles nettoient les tribunes avec des souffleurs de feuilles.Bild: keystone
Klaus Zaugg - notre envoyé spécial pour ces Jeux - qualifie volontiers les bénévoles en combinaison de protection de «Martiens». Eux aussi aiment jouer de temps en temps dans la neige.Bild: keystone Ces soldats du froid partent au combat contre la neige armés de balais.Bild: keystone
Sur les pistes, les skieurs de fond se frayent un chemin dans la neige fraîche.Bild: keystone
En revanche, sur la piste du slalom géant, on attaque les flocons tombés avec des fraises à neige.Bild: keystone
Dans les bus, la visibilité n'est pas au top.Bild: keystone
Mais rien ne semble perturber la bonne humeur des bénévoles.Bild: keystone
L'athlète d'Aerials Megan Nick s'envole à travers l'épais brouillard de neige.Bild: keystone
Les fans et les mascottes s'amusent aussi.Bild: keystone
Quelqu'un a fait bonne impression.Bild: keystone
La piste du slalom géant est très fréquentée.Bild: keystone
Glisser sur le tremplin de saut à ski n'est pas une tâche aisée.Bild: keystone
Mesures sanitaires et neige = visibilité zéro.Bild: keystone
Même entre les arbres, on met des coups de pelle.Bild: keystone
Entre-temps, la neige tombait vraiment en abondance.Bild: keystone
Les souffleurs de feuilles permettent également de nettoyer les tapis de tir de biathlon.Bild: keystone
Il en va de même pour les lignes d'arrivée.Bild: keystone
Quand le chasse-neige manque, place à l'huile de coude.Bild: keystone
Atelier bonhomme de neige...Bild: keystone
ou mascotte de neige?Bild: keystone
L'aire d'arrivée de la piste de descente de Yanqing. D'ailleurs, le deuxième entraînement des femmes a dû être annulé en raison de l'abondance de neige.Bild: keystone
La natation n'est pas au programme des Jeux d'hiver pourtant...Bild: keystone
Pas de pelle? Place aux balais! La station de bus devant le centre des médias à Pékin.Bild: keystone
Bonnet kazakh entièrement blanc.Bild: keystone
Adapté de l'allemand par jah
Le milieu valaisan de Toulouse et de la Nati a accordé un long entretien à L'Equipe. Il y évoque son amour du football, sa famille et l'Euro 2024. Extraits.
Vincent Sierro réalise une grande saison avec Toulouse. Capitaine des Violets, le milieu formé au FC Sion possède une intelligence de jeu qui séduit et intrigue les médias français. C'est d'ailleurs pour évoquer sa passion pour la tactique que L'Equipe l'a rencontré, quelques jours avant le match nul 2-2 entre Toulouse et Marseille dimanche. «J'analyse beaucoup les matches, a admis le Valaisan. Je m'intéresse de plus en plus aux systèmes de jeu, à la façon dont les entraîneurs réagissent dans certaines situations et comment chaque joueur bouge».