Quatrième mardi soir lors du slalom de Flachau en Autriche, l'Obwaldienne a sorti une deuxième manche d'exception, malgré un petit problème de bâtons.
17.01.2024, 09:4117.01.2024, 11:24
Michelle Gisin continue de surprendre en slalom. Après son podium à Lienz fin décembre, elle n'est pas passée loin de rééditer pareille performance, mardi en nocturne à Flachau. Sixième à l'issue de la première manche, la skieuse de 30 ans termine finalement au quatrième rang, à 1'38 de Mikaela Shiffrin mais à 27 centièmes seulement de la troisième, la Suédoise Sara Hector.
Etincelante lors du deuxième run, la Suissesse peut néanmoins nourrir quelques regrets, étant donné ce qu'elle a vécu avec son bâton droit. Celui-ci s'est dérobé sur plusieurs portes, virevoltant dans tous les sens, uniquement maintenu par la dragonne. Si Gisin n'a pas semblé déstabilisée, poursuivant sans broncher son effort, restant active avec le bas du corps avant de parvenir à reprendre le contrôle du bâton, cet incident lui a cependant coûté du temps. Entre les intermédiaires où cette mésaventure s'est produite, une perte de six dixièmes est constatée.
Les péripéties de Michelle Gisin ⬇️
Vidéo: extern / rest
En parvenant à rectifier la situation, tout en finesse, Michelle Gisin nous a présenté un vrai numéro d'équilibriste. Allumant du vert à l'arrivée, elle était forcément heureuse, allant jusqu'à balancer de joie ses bâtons.

La joie contagieuse de Michelle Gisin dans l'aire d'arrivée.Image: keystone
Deux autres Suissesses ont signé de belles performances mardi en Autriche: Camille Rast termine 6e et Mélanie Meillard se classe 12e. (roc)
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source: ap / martin meissner
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Peter Zeidler, vous avez été évincé de Bochum en octobre dernier. Combien de temps votre licenciement de Bundesliga vous a-t-il fait mal?
Il me fait encore mal aujourd’hui. J’ai eu la chance d’évoluer en Bundesliga, et après trois mois, c’était terminé. Cela reste dans mon CV, et dans mon coeur. Je vis de façon émotionnelle avec les clubs que j'entraîne, je m’identifie fortement à eux, donc je ne peux pas simplement passer à autre chose. Je ne veux pas, et ne peux pas, m’habituer aux licenciements.