Image: iStock Editorial
Les employés des boutiques voisines ont été contraints de rester immobiles, arme pointée sur eux.
Deux hommes armés ont braqué la bijouterie de l'Hôtel Fairmont Le Montreux Palace, située au niveau de la réception de ce lieu emblématique de la Riviera vaudoise. Le vol a eu lieu jeudi soir à 17h40. Malgré un important dispositif mis en place, ils n'ont pas encore pu être interpellés.
Selon la police vaudoise, ils ont brisé plusieurs vitrines et emporté des montres.
Ce qu'il s'est passé
Le Ministère public a été renseigné et le procureur de service a ouvert une enquête. Les investigations sont confiées aux inspecteurs de la police de sûreté vaudoise:
«Les voleurs ont quitté les lieux par la sortie arrière du bâtiment avant de prendre la fuite à vélo sur l'avenue des Alpes, indique vendredi la police vaudoise dans un communiqué. Personne n'a été blessé physiquement»
Dans les colonnes du Blick, une jeune femme, employée du magasin, a été interrogée par la police. Elle raconte:
«Elle a entendu des gens crier. Elle a tout laissé en plan pour sortir de sa boutique, et là, les braqueurs ont pointé des pistolets sur tout le monde, confie l'amie. Vendeurs, clients et personnel de l'hôtel ont dû rester sans bouger pendant que la bijouterie était volée.»
Appel à témoins
Ce brigandage a nécessité l'intervention de nombreuses patrouilles de la gendarmerie vaudoise, des polices communales ainsi que des inspecteurs de la police de sûreté et de la brigade de police scientifique.
La police cantonale a lancé un appel à témoins. Les personnes susceptibles de fournir des renseignements sont priées de prendre contact avec la Centrale Vaudoise Police en composant le numéro 117 ou avec le poste de police le plus proche. (ats/jch)
Les Bouffistas: le marché de Noël de Montreux
Video: watson
Ceci pourrait également vous intéresser:
Bruno Fegatelli et Georges Chatelain vont inaugurer ce samedi «le plus haut musée de motos de Grand Prix». Il sera situé au col du Grand-Saint-Bernard (2473m), à cheval entre leurs deux pays.
L'histoire est belle, et quand Georges Chatelain la raconte, il a encore du mal à masquer son étonnement. «Tout a commencé il y a deux ans. J'ai croisé par hasard un certain Bruno Fegatelli, retrace le résident de Saint-Cergue (VD). En discutant avec lui, je me suis aperçu que nous avions les mêmes origines. Il venait lui aussi de Pradiran, un minuscule hameau situé dans le val d'Aoste, où il vit d'ailleurs encore aujourd'hui.»
