Suisse
Economie

Les expatriés sont mitigés sur la qualité de leur vie en Suisse

Les expatriés sont mitigés sur la qualité de leur vie en Suisse

Image
La Suisse est trentième sur 59 destinations d'expatriés, selon la dernière étude d'InterNations.
18.05.2021, 10:0118.05.2021, 15:21
Plus de «Suisse»

Le pays se situe dans le top 10 en matière de qualité de vie, mais est avant-dernier en termes de coûts de la vie, celui de la santé étant particulièrement jugé négativement, selon l'enquête Expat Insider 2021 publiée mardi. En 2020, la Suisse se classait 26e sur 58 pays.

Image

Les étrangers présents sur le sol helvétique apprécient l'environnement, les infrastructures numériques, les opportunités de carrière ou encore la sécurité, mais déplorent la difficulté à nouer des amitiés. La Suisse est ainsi 8e en matière de satisfaction au travail, mais tombe à la 51e place concernant le sentiment de «se sentir comme à la maison».

L'étude s'est aussi intéressée aux conséquences de la crise du Covid-19 sur les expatriés. La crise sanitaire a bouleversé les projets de déménagement de 37% des participants au sondage dans le monde, mais de seulement 20% de ceux installés en Suisse. Les sondés ont rarement évoqué des conséquences sur leur santé (2%) ou leurs finances (4%).

Le top 10

  1. Taïwan
  2. Mexique
  3. Costa Rica
  4. Malaisie
  5. Portugal
  6. Nouvelle-Zélande
  7. Australie
  8. Equateur
  9. Canada
  10. Vietnam

En bout de tableau se trouvent l'Afrique du Sud, l'Italie et le Koweït. L'enquête a été réalisée auprès de 12 000 personnes vivant dans 59 pays. (ats/awp)

Ceci pourrait également vous intéresser:
0 Commentaires
Comme nous voulons continuer à modérer personnellement les débats de commentaires, nous sommes obligés de fermer la fonction de commentaire 72 heures après la publication d’un article. Merci de votre compréhension!
Le cybertruck de Tesla est le «pire flop de l'histoire» de l'automobile
Il devait révolutionner le milieu automobile, mais le rêve a tourné au cauchemar. Le cybertruck de Tesla est trop lourd, trop cher, trop compliqué. Il vient de recevoir une «distinction» peu réjouissante.

Le cybertruck de Tesla était censé, à terme, remplacer le pick-up. Mais la révolution a tourné au fiasco. Sur les 250 000 unités prévues, moins de 40 000 ont été vendues l'an dernier, soit 84% de moins. Et il ne faut pas s'attendre à une amélioration. Les chiffres de janvier et février sont pires encore. Le magazine Forbes parle déjà du «plus grand flop de l'industrie automobile» depuis des décennies. Et il y a de bonnes raisons à cela.

L’article