Suisse
maladie

Bâle: deux oiseaux sauvages morts de la grippe aviaire

La grippe aviaire touche Bâle, la Suisse sous surveillance

Deux oiseaux sauvages ont été diagnostiqués comme morts de la grippe aviaire à Bâle-Ville.
01.02.2023, 10:5501.02.2023, 18:17
Plus de «Suisse»

Bâle-Ville a enregistré deux cas de grippe aviaire au cours des deux dernières semaines. Les analyses réalisées sur les cadavres d'une mouette rieuse et d'un héron cendré ont abouti à un test positif au virus H5N1.

24.08.2022, Nordrhein-Westfalen, K�ln: Ein Graureiher lauert regungslos am Rheinufer auf Beute. In Nordrhein-Westfalen ist in den kommenden Tagen viel Sonne angesagt. Es werden Temperaturen von 30 bis ...
Un héron cendréImage: DPA

La maladie est répandue actuellement dans toute l'Europe, rappelle, mercredi, le département de la Santé publique de Bâle-Ville. Le virus pourrait désormais aussi se répandre en Suisse à travers le passage des oiseaux migrateurs.

La découverte d'oiseaux sauvages morts de la grippe aviaire n'est pas rare. Des cas similaires ont été signalés depuis le début de l'hiver dans d'autres régions de Suisse. C'est pourquoi l'ensemble du pays est considéré comme une zone de contrôle depuis le 28 novembre et jusqu'au 15 février. Des mesures spécifiques prévalent pour les élevages de volailles, afin d'éviter tout contact avec les oiseaux sauvages. (jah/ats)

Cet oiseau rare attend patiemment un mâle pour sauver son espèce
Video: watson
Ceci pourrait également vous intéresser:
0 Commentaires
Comme nous voulons continuer à modérer personnellement les débats de commentaires, nous sommes obligés de fermer la fonction de commentaire 72 heures après la publication d’un article. Merci de votre compréhension!
Ce journaliste du New York Times a traversé la Suisse à pied
Originaire de Tasmanie, le photographe Ben Buckland a marché 420 km d'Ouest en Est de la Suisse. Sans smartphone ni itinéraire préétabli. Mais en mettant les habitants à contribution d'un manière originale. Voici son périple et ses rencontres.

Lorsque nous nous promenons dans Stockholm ou Strasbourg, nous utilisons tôt ou tard notre smartphone. Idem, lorsque nous réservons un restaurant à Riga, un hôtel à Hanoï ou une voiture de location à Montréal. Ben Buckland, un photographe entre autres récompensé pour ses travaux sur les droits de l'homme, en a eu assez de tout cela. Comme de la manière dont il voyageait. De toute cette prévisibilité à l'ère du téléphone portable.

L’article