![Image](/fr/imgdb/b7b0/Qx,A,0,0,1920,1201,800,500,320,200/5420887949100002)
Image: keystone/Shutterstock
Les contaminations se maintiennent à un haut niveau et le pic n'a pas encore été atteint, mais la vague Omicron est moins violente que prévu. Voilà en substance le contenu du dernier point presse des experts de la Confédération. Récap' en dix punchlines.
01.02.2022, 15:2501.02.2022, 17:37
Une métaphore pour commencer
«La vague Omicron est forte et violente, mais il ne s'agit pas d'un tsunami»
Patrick Mathys, responsable de la section Gestion de crises et coopération internationale à l'OFSP
La vague continue de battre son plein
«Même si un ralentissement du nombre de cas se dessine, Omicron continue de se propager en Suisse»
Patrick Mathys
Qu'en est-il du nombre de cas?
«Il faut s'attendre à ce qu'un grand nombre d'infections ne soient pas détectées. Leur nombre est estimé à plus de
100 000 par jour»
Patrick Mathys
Et par conséquent
«Le pic de la vague n'a pas encore été atteint»
Patrick Mathys
La fin ne sera donc pas pour tout de suite
«La pandémie va s'éteindre progressivement et sur une longue période»
Rudolf Hauri, président de l’Association des médecins cantonaux
Mais il y a une bonne nouvelle
«On peut partir du principe que les soins intensifs seront épargnés par la vague Omicron»
Patrick Mathys
Et par ailleurs
«Il sera de plus en plus possible de rattraper les interventions reportées»
Patrick Mathys
Quelles perspectives?
«En cas de levée des restrictions, il faut s'attendre à une augmentation des infections»
Patrick Mathys
Certaines mesures montrent leurs limites
«La quarantaine doit être remise en question. Le nombre de cas non recensés est trop élevé»
Rudolf Hauri
Des conséquences possibles
«Les conséquences économiques pourraient être plus graves que les conséquences sanitaires en cas de levée totale de toutes les mesures»
Patrick Mathys
Le nouveau visage du passeport belge
Video: watson
Ceci pourrait également vous intéresser:
Une ancienne femme de ménage de l'ex-manager est jugée pour extorsion. Presque au même moment, Tidjane Thiam s'exprime lui-même sur une autre affaire de chantage, derrière laquelle il soupçonne un complot politique.
Tidjane Thiam, ex-directeur de Credit Suisse (CS), est doué pour faire les gros titres. Dernier épisode en date: une ancienne employée de maison a voulu le faire chanter et comparaît pour cela devant le tribunal de Meilen (ZH), comme le rapporte l'agence de presse Keystone-ATS. La femme aurait exigé plus d'un demi-million de francs.