Suisse
Téléphone

Sunrise pourrait licencier 180 personnes

De janvier
Keystone

Sunrise pourrait licencier 180 personnes

Près de 200 personnes pourraient bientôt perdre leur emploi chez Sunrise. La direction le justifie lundi par une restructuration de l'entreprise.
27.11.2023, 09:1027.11.2023, 11:44
Plus de «Suisse»

L'opérateur de télécommunications Sunrise veut «alléger la structure de l'entreprise et réduire les coûts». L'entreprise évalue donc la suppression de 200 postes au premier trimestre, ce qui pourrait conduire à environ 180 licenciements, a-t-elle indiqué lundi.

L’objectif est de «simplifier davantage les structures de l’entreprise dans leur ensemble», écrit l'opérateur dans un communiqué. Cela concerne un grand nombre de postes de direction et de fonctions sans contact direct avec la clientèle dans tous les domaines.

Les Sunrise Shops pas touchés

Les Sunrise Shops et le service client en contact direct avec la clientèle ne seront pas touchés par ces suppressions de postes, assure Sunrise.

La procédure de consultation a été lancée. Les licenciements, prévus entre janvier et mars 2024 au plus tard, seront étudiés avec la représentation du personnel et le syndicat syndicom. (asi)

La visite d'Emmanuel Macron en Suisse
1 / 23
La visite d'Emmanuel Macron en Suisse
source: sda / anthony anex
partager sur Facebookpartager sur X
0 Commentaires
Comme nous voulons continuer à modérer personnellement les débats de commentaires, nous sommes obligés de fermer la fonction de commentaire 72 heures après la publication d’un article. Merci de votre compréhension!
Une étrange «guerre des transports publics» fait rage en Romandie
Les internautes passionnés de transports publics sont en colère. Depuis quelques jours, une vague de nouveaux comptes humoristiques déferle sur les réseaux sociaux, qu'ils accusent de vouloir «ridiculiser» cette activité, qui consiste à documenter le quotidien ordinaire des bus. Une tendance qui vient de France et dont les nouveaux venus avouent s'être inspirés. On en a causé avec les deux camps. Tentative d'explication.

«On nous fait passer pour des malades mentaux!», «On va en prendre plein la gueule!», «Vous n'avez rien d'autre à faire que de vous moquer?». Contre toute attente, aimer très fort les transports publics est un sport dangereux. On ne parle pas de passer sous des essieux ou de se prendre un rétroviseur dans la tronche. Depuis mardi, une dizaine de vrais passionnés romands expriment leur grogne et s'estiment bafoués.

L’article