Les dommages sont aussi «importants» sur la viticulture de certaines zones, mais l'impact sur la vendange devrait rester limité.
Il ne s'agit toutefois que d'un bilan provisoire. «Une évaluation définitive des dégâts ne sera possible que dans les prochaines semaines, en fonction des cultures, de leur évolution végétative, ainsi que des conditions météorologiques», précise mercredi le Service de l'agriculture dans son communiqué.
Les fruits à maturité ou proche de la maturité (abricots, pruneaux, pommes précoces) ont été «durement affectés». Il en est de même pour les cultures maraîchères en plein champs. Les autres fruits à pépins (pommes, poires) n'ont pas été épargnés.
Ces dégâts sont «très variables» selon la région, remarque le Service de l'agriculture. Et de préciser que les cultures de fruits et légumes en amont de Bramois ont été préservées.
En viticulture, et là aussi selon une première évaluation, les dégâts sont «globalement modérés» mais peuvent s'avérer «importants» localement. «Dans les parcelles où le travail de dégrappage n'a pas encore été effectué, la vendange pendante offre une relative marge de manœuvre», poursuit le communiqué.
A l'échelle du canton, cet épisode de grêle devrait avoir «un impact limité» sur le volume de la vendange 2023.
Finalement, au niveau des cultures céréalières, des dégâts localisés sur certaines parcelles ont été signalés, «mais sans impact significatif sur les récoltes.» (chl/ats)