La police alerte ce mercredi sur une nouvelle arnaque qui pullule en ligne. Il s'agit de fausses publicités de La Poste suisse sur des colis perdus.
La police vaudoise alerte, dans une vidéo, sur une nouvelle arnaque. Celle-ci profite de l'image de La Poste pour dépouiller les gens et se propage sur Facebook et Instagram depuis quelques jours. Les posts en question font croire aux utilisateurs qu'ils peuvent récupérer, à moindre coût, des colis perdus stockés chez le géant jaune.
Pour ceux qui ont la flemme de lire, l'arnaque expliquée en vidéo 👇
Vidéo: twitter
En effet, en échange d'une faible somme – 1 franc et 95 centimes, dans l'exemple pointé du doigt par la police –, on promet aux utilisateurs de récupérer le contenu d'un carton plein de produit Apple. Les intéressés sont invités à cliquer sur un lien qui conduit, lui, sur une page complètement illicite.
Ici, l'url est problématique, il faut faire demi-tour.Image: screenshot police vaudoise
Si vous continuez votre progression, le site vous propose de faire un petit jeu et c'est super, car vous allez gagner (pas de quoi s'enflammer, on gagne à tous les coups). Pour remporter son prix – autrement dit, l'achat à bas coût du fameux colis – il faudra remplir un formulaire.
Attention a cette autre arnaque 👇
Le site fallacieux vous demande - évidemment - d'indiquer vos coordonnées bancaires. Et là, c'est bien sûr une arnaque qui vise à vous priver de vos économies. Fermez la page.
Que faut-il retenir de cette histoire?
Le e-cop François de la police vaudoise nous donne quelques bons réflexes quand on navigue sur internet:
- Il faut se méfier des actions trop belles pour être vraies quand on est sur Internet.
- Il faut toujours vérifier l'url du site sur lequel on est.
- Il ne faut jamais entrer ses coordonnées bancaires quand on a un doute, surtout si l'url semble étrange.
En clair
«Dès le moment où il y a un doute, c'est qu'il n'y a pas de doute: c'est une arnaque»
Le e-cop François
(jah)
Une femme enceinte a pris durant huit semaines un inhibiteur de contractions promu par Novartis. Elle en est persuadée, ses jumelles souffrent d'autisme à cause de ce médicament.
Les jumelles américaines Rachel et Renee, aujourd'hui âgées de 31 ans, sont diagnostiquées autistes. Une condition neurologique que leur mère explique par l'hypothèse suivante: en 1993, alors qu'elle était à 28 semaines de grossesse, elle a pris de la terbutaline de Novartis. Selon plusieurs études, les enfants exposés à ce médicament in utero présentent un risque 400% plus élevé de développer l'autisme.
