source: police vaudoise
Mercredi après-midi, une avalanche qui s’est déclenchée en contrebas du Col des Bouquetins, a fait dérailler un train en service de ligne sur la commune d’Ollon. Aucun blessé n’est à déplorer.
03.02.2022, 06:1303.02.2022, 08:04
Mercredi, vers 14h50, la Police cantonale vaudoise est avisée qu’une avalanche s’est déclenchée en contrebas du Col des Bouquetins, sur la commune d’Ollon. Cette coulée de neige, d’environ 100 mètres de large, a dévalé la pente et a terminé sa course sur la piste «La Populaire».
source: police vaudoise
Sur son passage, elle a emporté le dernier wagon d’un train des Transports Publics du Chablais au lieu-dit «Les Bouquetins». Ce train en service de ligne descendait de Bretaye en direction de Villars et ne transportait aucun passager. Le conducteur n’a pas été blessé.
Cette avalanche a mobilisé:
- 12 sauveteurs de la colonne de secours de Villars.
- 4 chiens d’avalanche, les gendarmes du Peloton de montagne.
- Des patrouilles.
- Deux hélicoptères de la REGA.
- Des pompiers du SDIS des Salines.
- 9 moniteurs de ski de la station de Villars.
- Du personnel des Transports publics du Chablais.
En effet, des recherches ont immédiatement été entreprises sur le terrain et ont pu exclure la présence éventuelle de personnes ensevelies.
source: police vaudoise
Une enquête a été ouverte, elle doit permettre de déterminer les causes de cette avalanche. (jah)
L'intégrisme religieux qui a été fatal à Samuel Paty, celui qui a poussé un proviseur parisien à la démission, comme celui qui vient de coûter sa place à un instituteur zurichois, participent de cette violence qui se drape dans l'offense. Soyons-en conscients.
Des rumeurs d’enfants, des parents qui en rajoutent, une direction d’école qui flanche. Résultat: un professeur d’école primaire poussé à la démission. En Suisse, dans le canton de Zurich. Ici, pas d’accusation de blasphème, mais de corruption de mineurs, aggravée de la circonstance d’homosexualité. Le présent engrenage rappelle celui qui a coûté la vie en octobre 2020 en France à Samuel Paty, ce professeur décapité par un jeune djihadiste tchétchène. Il évoque plus près nous la démission, pour raisons de sécurité, d’un proviseur de lycée parisien, après qu’il eut, conformément à loi, demandé à une élève d’ôter son voile.
