Aux alentours de 4%. Peut-être un peu en dessous. Cela représenterait déjà une hausse très significative par rapport à la chute du PIB de 6,8% enregistrée dans la zone euro en 2020. Tout dépendra de la politique de vaccination et du déroulement des campagnes. Ainsi que des mesures économiques prises par les gouvernements en réponse aux conditions sanitaires.Le 21 juillet 2020, les chefs d'Etat et de gouvernement européens ont décidé un plan de relance de 750 milliards d'euros. Avez-vous des inquiétudes sur sa concrétisation?
Nous demeurons convaincus, à la BCE, que 2021 sera une année de reprise. La reprise économique a été retardée, mais non battue en brèche. Elle est évidemment attendue avec impatience. Nous anticipons une montée en puissance autour du milieu de l'année, même si des incertitudes persistent. Nous ne sommes pas à l'abri de risques encore inconnus. Soyons lucides : nous ne retrouverons pas les niveaux d'activité économique d'avant la pandémie avant mi-2022.
Aux alentours de 4%. Peut-être un peu en dessous. Cela représenterait déjà une hausse très significative par rapport à la chute du PIB de 6,8% enregistrée dans la zone euro en 2020. Tout dépendra de la politique de vaccination et du déroulement des campagnes. Ainsi que des mesures économiques prises par les gouvernements en réponse aux conditions sanitaires.Le 21 juillet 2020, les chefs d'Etat et de gouvernement européens ont décidé un plan de relance de 750 milliards d'euros.
Aujourd'hui, ces incertitudes majeures ont toutes été dissipées. Notamment la plus cruciale d'entre elles, la mise à disposition de vaccins fiables, puisque plusieurs ont été validés depuis par les autorités de santé internationales compétentes. C'est une nouvelle donne. Et un facteur indéniable d'optimisme.