
Plus de 40 femmes ont témoigné auprès de la justice contre l'ancien présentateur.Keystone
Alors que leurs plaintes avaient été initialement classées sans suite pour prescription, deux nouvelles femmes se sont constituées partie civile contre l'ex-présentateur Patrick Poivre d'Arvor.
21.10.2024, 21:2821.10.2024, 21:28
Cinq autres femmes avaient elles aussi déposé plainte en juin dernier, entraînant la saisie de deux juges d'instruction le 19 juillet, et qui ont depuis été jointes à l'information judiciaire ouverte en décembre 2021 après la plainte avec constitution de partie civile de l'autrice Florence Porcel, qui accuse l'ancien présentateur de l'avoir violée à deux reprises.
PPDA a été mis en examen en décembre 2023 pour l'un de ces viols. «Lors des précédentes constitutions de parties civiles, les juges saisis de la plainte de Mme Porcel ont été désignés et ils ont ordonné la jonction avec leur affaire initiale», a précisé le parquet.
Cette information judiciaire avait été élargie en février à deux autres viols et une agression sexuelle dénoncées par trois femmes. Au total, plus de 40 femmes ont témoigné auprès de la justice contre l'ancien présentateur des JT d'Antenne 2 puis de TF1, âgé de 77 ans. Ce dernier conteste les accusations de viols et d'agressions sexuelles. (mbr/ats)
L'actu' internationale, jour et nuit, c'est par ici:
La nouvelle gare CFF à Genève
1 / 9
La nouvelle gare CFF à Genève
Genève Cornavin CFF
source: cff
Ceci pourrait également vous intéresser:
Elle hante les imaginaires depuis des décennies, mais la survenue d'une guerre nucléaire en Europe reste une hypothèse quasi irréalisable. Entre dissuasion stratégique, coût diplomatique et équilibre des puissances, tout concourt à rendre l’emploi de l’arme atomique irrationnel. Pourtant, le «quasi» qui précède «impossible» mérite qu’on s’y attarde.
L'arme nucléaire, du fait des conséquences désastreuses qu'entraînerait son emploi, est vouée à rester un élément de dissuasion. Si la menace du recours à cette arme ultime est fréquemment brandie côté russe, il n'en demeure pas moins que les responsables au Kremlin ont pleinement conscience des coûts pratiquement incalculables qu'une telle décision engendrerait. Pour autant, si le pire n'est jamais certain, il n'est jamais à exclure totalement.