International
ukraine

Zaporijjia: Biden, Macron, Scholz et Johnson appellent au calme

Les Européens tentent de calmer le jeu à la centrale nucléaire de Zaporijia

President Joe Biden and President Emmanuel Macron attend the G7 leaders' summit at Castle Elmau in Elmau, near Garmisch-Partenkirchen, Germany, Monday, June 27, 2022. The Group of Seven leading e ...
Joe Biden et Emmanuel Macron lors du sommet du G7 en Allemagne en juin dernier.Image: sda
Les combats autour de cette centrale nucléaire du sud de l'Ukraine ont fait resurgir le spectre d'une catastrophe pire que celle de Tchernobyl.
22.08.2022, 04:3313.09.2022, 17:54
Plus de «International»

Les dirigeants américain, français, allemand et britannique ont appelé dimanche à la «retenue» autour de la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijia, la plus grande d'Europe, occupée par l'armée russe.

Les présidents Joe Biden et Emmanuel Macron ainsi que le chancelier Olaf Scholz et le Premier ministre Boris Johnson, qui se sont entretenus au téléphone, ont aussi demandé l'envoi «rapide» sur place d'une mission des inspecteurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), selon le porte-parole du dirigeant allemand.

Vendredi, la présidence française a affirmé que le chef de l'Etat russe Vladimir Poutine avait accepté que les inspecteurs de l'AIEA fassent une visite d'inspection à la centrale.

Lors de leurs entretiens dimanche, les quatre dirigeants occidentaux ont également «convenu que le soutien à l'Ukraine dans sa défense contre l'agression russe serait maintenu». (ats/jch)

Sanna Marin, première ministre finlandaise, critiquée pour la vidéo d’une soirée
Video: watson
Ceci pourrait également vous intéresser:
0 Commentaires
Comme nous voulons continuer à modérer personnellement les débats de commentaires, nous sommes obligés de fermer la fonction de commentaire 72 heures après la publication d’un article. Merci de votre compréhension!
«Grand danger»: le président sud-coréen lâché par son parti
Changement de discours au sein du parti de Yoon Suk Yeol, qui demande désormais le départ du président rebel.

Le parti du président Yoon Suk Yeol a demandé vendredi le départ «rapide» du dirigeant sud-coréen, estimant que son maintien au pouvoir représente un «grand danger» pour le pays après son coup de force manqué en début de semaine.

L’article