Anthony Loffredo a une passion: les transformations corporelles. Son but: ressembler à un alien. A 33 ans, ce Français s'est fait retirer le nez, les deux oreilles, une partie de la lèvre supérieure et deux doigts de la main droite (pour qu'elle ressemble à une griffe). Tout ça en plus des tatouages sur tout le corps (y compris des yeux), des piercings, des implants et de la langue coupée en deux qui l'empêche de pouvoir parler correctement. D'après ce qu'il écrit sur Instagram, il en est à 44% de sa transformation.
The black alien, comme il se fait surnommer, documente ses transformations physiques spectaculaires pour ses 1,2 million de followers sur Instagram. C'est très facile de se perdre sur son profil à la fois fascinant et dérangeant. Certains contenus sont même à la limite de l'OnlyFans.
Désormais, il veut aller plus loin dans sa transformation en amputant l'une de ses jambes. Il l'a révélé dans le podcast espagnol Club 113. Et cela, toujours dans le but de ressembler encore plus à un extraterrestre... de son point de vue.
«C’est quelque chose de compliqué, car ma jambe est saine. Une amputation, ce n’est pas rien», admet Black Alien. Il a précisé que l'amputation se ferait à partir du genou et qu'il n'envisageait de subir cette intervention que sur une seule de ses jambes (petit joueur).
Lorsqu'on lui a demandé s'il comptait mettre ou non une prothèse pour remplacer la partie inférieure de l'une de ses jambes, il n'a pas vraiment répondu à la question et la discussion s'est déplacée vers des puces électroniques et d'autres idées futuristes.
Néanmoins, la technologie n'a pas toujours été de son côté. Son smartphone ne le reconnaît plus, il ne peut donc plus utiliser son Face ID.
Dans une publication Instagram datant du mois de mars, il a également fait allusion à une subincision. Mais qu'est-ce que ça peut bien être? Vous ne savez pas? Alors, accrochez-vous. Il s'agit d'une division du pénis en deux. Traditionnellement pratiquée par certaines tribus aborigènes, cette mutation décuplerait le plaisir. Et là, on vous voit venir... vous êtes déjà en train de chercher ce mot sur Google images. Une fois de plus... accrochez-vous.