Elle est née le 13 novembre 2023, mais est déjà une mini-star sur les réseaux. De qui s'agit-il? De presque tous les «nepo-babies», nous direz-vous, puisque les enfants de stars sont exposés au regard indiscret de la Toile dès le plus jeune âge. Et dans la grande famille des candidats de téléréalité, le phénomène ne fait pas exception. Récemment, sur ce même thème, c'est l'ex-star des Marseillais Kim Glow (Sophie Laune de son vrai nom) qui fait parler d'elle.
Sa petite «Talia Glow» n'a pas encore 5 semaines qu'elle a déjà un compte Insta avec son prénom, et le pseudo de maman. Le compteur de followers, lui, s'est déjà emballé: plus de 11 000 âmes se sont mobilisées autour de l'unique photo, et des «stories» postées de façon quotidienne.
En description du compte, une adresse mail pour les futures demandes collaborations. Et pour certains internautes, c'est avéré:
Alors que Kim est toujours restée très mystérieuse quant à l'identité de son compagnon, la première photo publiée de son bébé date, elle, du 22 novembre. Les internautes sont aussi offusqués qu'étonnés:
Pour répondre à ces attaques, Kim s'est rendue sur le plateau de TPMP mardi. La séquence a donné lieu à un échange mouvementé entre Gilles Verdez, Raymond Aabou, et la starlette, qui assure «ne pas comprendre la polémique».
«J'ai créé ça pour ma fille, pour qu'elle ait des contrats, pour son compte en banque, pour sa sécurité financière», assure la starlette de 39 ans. «Pour qu'à 18 ans, elle me dise merci maman.»
Kim s'est défendue d'instrumentaliser son bébé:
De son côté, Gilles Verdez a estimé que poster des photos de bambins est très imprudent, puisqu'ils risquent d'être exposés au regard de prédateurs. «C'est dangereux!», a-t-il assuré.
La polémique est encore montée d'un ton avec Raymond, qui a axé sa rhétorique sur le thème du travail. «Normalement, les gens ouvrent un compte pour leurs enfants, ils travaillent durement...»
Sous les rires de l'assemblée, Kim essaie tant bien que mal de se défendre: «il faut se lever le matin et être dégoûté de se lever pour dire qu'on travaille durement?», a-t-elle rétorqué. «Ouais, je me lève avec le sourire. Et ma fille, je veux qu'elle se lève avec le sourire.»
Sous la séquence, malgré des critiques, de nombreux internautes ont tenu à défendre la jeune maman: