L'AS Monaco s'est imposé 4-1, dimanche en 32e de finale de la Coupe de France face à l'Union Saint-Jean (R1). Le club de la Principauté n'a jamais semblé menacé. Il menait déjà 2-0 à la mi-temps, puis il a aggravé le score en seconde période. Plusieurs joueurs se sont mis en évidence côté monégasque, mais ce n'est pas le cas de Breel Embolo, qui était pourtant titulaire en pointe. L'attaquant de la Nati (73 sélections et 15 buts) n'a pas marqué; pire, il a manqué un penalty.
Les deux équipes étaient dans le temps additionnel de la première mi-temps lorsque Monaco a obtenu un penalty, qu'Embolo a décidé de tirer. Mais sa frappe molle, sur la droite du gardien, a facilement été stoppée par le portier Fawzy Rabyi.
Le péno raté en vidéo:
Vidéo: watson
Même s'il a encaissé quatre buts, le gardien avait le sourire face aux journalistes en fin de match, surtout lorsqu'il a été question de ce penalty. Fawzy Rabyi s'est même permis de chambrer l'international suisse.
«Embolo? Il a voulu me faire une feinte de petit en regardant à gauche pour finalement tirer à droite. Il a voulu jouer avec moi mais j’ai gagné»
Lorsque Monaco a obtenu un second penalty au retour des vestiaires, Breel Embolo a laissé Takumi Minamino se charger de la sentence. Mais le Japonais a lui aussi échoué face à Fawzy Rabyi. Le nom du gardien a d'ailleurs été scandé par les 20'000 personnes qui se sont massées au Stadium de Toulouse.
«J’ai fait pas mal d’arrêts, je pense que j’ai fait un bon match. Quand je sors les penalties, et que tout le monde crie mon prénom, c’est hyper gratifiant, hyper valorisant»
Fawzy Rabyi face aux médias après le match.
Breel Embolo, lui, traverse une période beaucoup plus compliquée. Il n'a inscrit que 4 buts en 21 matchs cette saison, toutes compétitions confondues.
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«La ligue suédoise est meilleure que la National League»
Dominik Egli a quitté l'an passé le HC Davos pour Frölunda dans le championnat suédois. Il revient pour watson sur son expérience en Scandinavie et nous parle des différences entre les deux ligues, tout en présentant ses objectifs pour l’avenir et le prochain Championnat du monde.
L’été dernier, Dominik Egli a franchi le pas vers la Suède, quittant Davos pour Frölunda, l’un des meilleurs clubs du pays, basé à Göteborg. Lors de son transfert, il avait expliqué vouloir sortir de sa zone de confort. Aujourd’hui, après sa première année en Scandinavie, le défenseur de 26 ans dresse un bilan positif: «Ce n’était pas un mauvais exercice. Je l'ai très bien débuté». Et même s'il a subi ensuite une blessure, qui lui a fait manquer sept matchs, le joueur estime que sa première saison à l'étranger est globalement réussie.
