L'équipe de Suisse a manqué son affaire pour son entrée en lice dans le 2e tour pré-qualificatif du Mondial 2027. Les hommes d'Ilias Papatheodorou se sont inclinés 73-60 en Slovaquie.
Cette défaite n'est pas rédhibitoire. Mais, dans un groupe où chacune des trois équipes ne disputera que quatre matches, elle n'augure rien de bon, même si l'écart s'est réduit dans le dernier quart. Les Helvètes devront réagir mercredi face à l'Ukraine, qu'ils accueilleront à Fribourg dès 19h.
La Suisse avait pourtant entamé de manière idéale cette partie disputée à Bratislava. Sous l'impulsion de Toni Rocak et Dykan Ducommun, elle a logiquement pu prendre six longueurs d'avance (13-6, puis 15-9) dans un premier quart conclu sur le score de 17-13 en sa faveur.
Mais les Slovaques se sont réveillés dans le deuxième quart-temps. Et notamment leurs "shooteurs" Timotej Malovec (21 points au final, agrémentés de 9 rebonds), Lukas Bolek (3/4 à 3 points) et Dalibor Hlivak (3/4 derrière l'arc), qui ont uni leurs efforts pour faire céder la défense helvétique.
Auteure notamment d'un partiel de 8-0 en l'espace de 1'30, la Slovaquie a pris les commandes avant la mi-temps (41-33 à la pause). Et la Suisse a sombré dans le troisième quart, n'inscrivant que 5 points (tous sur des lancers francs !) dans les neuf premières minutes de jeu. A 60-40 après trois "quarters", la messe était dite.
Le Servette FC n’est pas loin de basculer dans une crise qui emportera très certainement Thomas Häberli. Battus 4-1 par Saint-Gall au Stade de Genève, les Grenat ont perdu leur football.
Une semaine après leur revers 3-1 à Berne face au Young Boys et quatre jours après leur élimination au 2e tour préliminaire de la Ligue des Champions devant Plzen, les protégés de Thomas Häberli ont été encore une fois punis par leurs errances défensives. Jérémy Frick commettait ainsi l’irréparable à la relance pour l’ouverture du score de Willem Geubbels à la 11e. Le capitaine ne fut toujours pas à son avantage sur le 2-0 de Geubbels (18e) et sur le 3-1 d’Alessandro Vogt (30e). Comme Joël Mall mercredi, il est passé au travers de son match. La règle de l’alternance instaurée pour les deux gardiens grenat tourne bien au fiasco.
La bourde initiale de Jérémy Frick ne doit pas masquer tous les manques d’une équipe bien pénalisée par les choix de son entraîneur. Le recours à une défense à trois et la titularisation de Giotto Morandi pour Alexis Antunes ne furent, ainsi, pas vraiment payants. Tout indique que Thomas Häberli jouera sa tête lors de la double confrontation contre Utrecht pour le compte du troisième tour préliminaire de l’Europa League. Il a épuisé tous ses jokers.
A la faveur de ce succès, le FC Saint-Gall occupe seul la tête du classement avant les rencontres de dimanche. Les Young Boys se sont, en effet, pris les pieds dans le tapis à Winterthour. Malgré l’ouverture du score d’Edimilson Fernandes, les Bernois ont concédé le nul (1-1). L’égalisation de la tête de Remo Arnold à la 64e ne fut toutefois qu’un juste salaire pour des Zurichois valeureux mais aussi malchanceux avec cette frappe magnifique de Théo Golliard sur le poteau à la 75e.
Charles Leclerc (Ferrari) partira en pole position dimanche dans le Grand Prix de Hongrie de Formule 1. Le Monégasque offre à la Scuderia sa première pole de la saison.
Seulement 6e en Q2, Charles Leclerc a devancé de 26 millièmes l'Australien Oscar Piastri (McLaren), leader du championnat du monde, samedi lors de la troisième partie des qualifications. Derrière, l'autre McLaren, celle de Lando Norris (3e à 0''041), s'élancera de la deuxième ligne à côté de George Russell (Mercedes/4e à 0''053).
"Je ne comprends rien", a lâché, incrédule, Charles Leclerc à l'issue de cette séance qualificative. Cinquième du championnat du monde 2025, le Monégasque affiche cinq podiums à son tableau de chasse cette saison. Fort de sa 27e pole position, il partira en quête d'un 9e succès dans la catégorie-reine du sport automobile dimanche en Hongrie.
Du côté des Kick Sauber, le "rookie" Gabriel Bortoleto a réussi à se hisser de justesse en Q3. Le Brésilien a alors livré la marchandise pour signer le 7e temps, à 0''353 de Leclerc, juste devant le quadruple champion du monde Max Verstappen. Son équipier allemand Nico Hülkenberg s'est en nettement moins bien sorti, échouant en Q1 avec le 19e temps.
Le cyclisme suisse n'est pas passé loin de fêter une deuxième victoire consécutive dans la Clasica San Sebastian.
Un an après le succès de Marc Hirschi, l'Argovien Jan Christen (21 ans) a terminé 2e au Pays basque, à 9'' de l'Italien Giulio Ciccone.
Il n'a donc pas manqué grand-chose au grand espoir Jan Christen pour décrocher le plus beau succès de sa jeune carrière professionnelle. Le coureur de la Team UAE se satisfera néanmoins certainement de cette 2e place, qui constitue son meilleur résultat dans une épreuve estampillée World Tour.
Déjà brillant l'an dernier (9e) à San Sebastian, Jan Christen pouvait encore croire en la victoire à 9 km de l'arrivée. Mais le grand (1m83) rouleur de Leuggern n'a rien pu faire lorsque son dernier compagnon d'échappée, Giulio Ciccone, a placé une attaque qui s'est avérée décisive à 8,7 km de l'arrivée.
Le FC Sion annonce le départ de Dejan Djokic. L'attaquant de 24 ans a été prêté jusqu'au terme de la saison 2025/26 au Debreceni VSC, club de 1re division hongroise, avec une option d'achat.
Djokic était arrivé à Tourbillon durant l'été 2024, après avoir terminé deuxième meilleur buteur de la Challenge League avec Vaduz. Malgré des débuts prometteurs à Sion (trois buts dans ses cinq premiers matches officiels), il n'est pas parvenu à s'imposer dans le onze sédunois.
Katie Ledecky reste la reine du 800 m libre.
L'Américaine de 28 ans s'est parée d'or dans la discipline samedi aux Mondiaux de Singapour en repoussant les assauts de sa jeune rivale canadienne Summer McIntosh, qui a même dû se contenter du bronze.
Sacrée pour la septième fois sur la distance dans des Mondiaux en grand bassin, Katie Ledecky a réalisé le 4e meilleur chrono de l'histoire (8'05''62) pour s'offrir un... 23e titre mondial. A Singapour, la quadruple championne olympique du 800 m avait déjà triomphé pour la sixième fois sur 1500 m dans des Mondiaux.
Devancée de 0''25 seulement par la légende américaine après 750 mètres, Summer McIntosh a craqué lors de l'ultime longueur. La Canadienne de bientôt 19 ans, qui en reste pour l'heure à trois titres dans ces joutes (200 m papillon, 200 m 4 nages et 400 m libre), a terminé en 8'07''29. Elle a également fait les frais du "finish" de rêve de l'Australienne Lani Pallister (2e en 8'05''98).
Cameron McEvoy a quant à lui été sacré sur 50 m libre samedi, comme deux ans plus tôt à Fukuoka. L'Australien, également champion olympique à Paris l'été dernier sur la distance, s'est imposé sur l'aller simple en 21''14. Il a devancé le Britannique Benjamin Proud (21''26), qui était déjà son dauphin aux JO de Paris. L'Américain Jack Alexy a pris la médaille de bronze en 21''46.
Noè Ponti devra patienter avant de devenir champion du monde en grand bassin.
Mais le Tessinois de 24 ans s'est tout de même paré d'argent sur 100 m papillon samedi aux Mondiaux de Singapour, comme sur 50 m papillon lundi.
Auteur du meilleur temps des séries et des demi-finales dans sa discipline fétiche vendredi, Noè Ponti espérait bien offrir à la natation helvétique son premier or mondial dans un bassin de 50 mètres. Il doit déchanter, mais n'a strictement rien à se reprocher.
Comme lundi sur 50 pap', le Tessinois a été battu par plus fort que lui. Pourtant, il a mis une claque à son record de Suisse (50''16) en nageant en 49''83 dans cette finale. Mais Maxime Grousset a frappé encore plus fort: le Français a réalisé 49''62, soit le 4e meilleur temps de l'histoire (et un nouveau record d'Europe).
Noè Ponti est, lui, désormais le no 5 de la hiérarchie historique de la discipline grâce à ces 49''83. A titre de comparaison, Michael Phelps avait nagé en 49''82 pour se parer d'or lors des championnats du monde 2009, alors que les combinaisons en polyuréthane étaient encore de rigueur.
Médaillé de bronze des JO de Tokyo 2021 et vice-champion d'Europe 2022 du 100 m papillon, Noè Ponti est ainsi le premier Helvète à décrocher deux médailles dans le même championnat du monde. De quoi effacer ses désillusions des JO de Paris 2024, où il avait échoué au 4e rang sur 100 m papillon (à 0''10 du bronze) et 5e sur 200 pap'.
Viktorija Golubic (WTA 90) a échoué samedi en finale du WTA 125 de Varsovie, disputé sur dur. La Zurichoise s'est inclinée 6-1 6-2 devant la Tchèque Katerina Siniakova (WTA 89).
Vice-championne olympique de double au côté de Belinda Bencic en 2021, Viktorija Golubic a été largement dominée dans cette finale, sa première de l'année. Elle a concédé cinq fois son service face à Katerina Siniakova, qui a pour sa part sauvé les quatre balles de break auxquelles elle a fait face.
La Zurichoise de 32 ans, dont le dernier titre dans un WTA 125 (équivalent des Challengers ATP les mieux dotés) remonte au mois de décembre 2024 à Limoges, a retrouvé sa confiance cette semaine malgré ce cinglant échec en finale. Elle gagnera une quinzaine de places dans la hiérarchie.
Michelle Heimberg devra patienter avant de décrocher une première médaille sur la scène intercontinentale. L'Argovienne a pris la 8e place du concours à 3 m des Mondiaux de Singapour samedi.
Brillante 5e au tremplin à 1 m dans ces joutes, Michelle Heimberg espérait faire encore mieux à 3 m, sa discipline favorite dans laquelle elle a décroché le titre européen à la fin mai à Antalya. Mais les choses auraient pu plus mal se passer encore.
L'Argovienne de 25 ans a ainsi dû batailler pour faire partie des 12 finalistes: elle ne pointait qu'au 13e rang de la demi-finale après trois des cinq sauts, avant de se reprendre pour terminer 11e de cette demi-finale et se donner le droit de rêver.
Trois heures plus tard, Michelle Heimberg a parfaitement lancé sa finale. Cinquième après trois sauts, elle pouvait alors encore espérer accrocher le podium. Mais les deux sauts qui lui avaient permis de se qualifier pour la finale n'ont cette fois-ci pas été réussis de manière optimale.
Avec 309,45 points, l'octuple médaillée européenne a nettement manqué le total qui lui avait permis de décrocher l'or européen (335,10). Un tel total lui aurait offert le bronze samedi dans un concours gagné par la Chinoise Chen Yiwen (389,70) devant sa compatriote Chen Jia (356,40) et l'Italienne Chiara Pellacani (323,20).
C'est la fin d'une époque à Tottenham. L'attaquant sud-coréen et capitaine du club, Son Heung-min, a annoncé samedi son intention de partir cet été après dix saisons et un seul trophée.
"Avant de commencer la conférence de presse, je voulais dire que j'ai décidé de quitter le club cet été", a déclaré l'ailier aux journalistes à Séoul, précisant que Tottenham lui apportait son aide en ce sens.
Le Sud-Coréen de 33 ans, arrivé en 2015 du Bayer Leverkusen, comptabilise plus de 450 matches avec Tottenham mais un seul trophée, la dernière Europa League, glanée en mai au terme d'une saison très loin de ses standards, parasitée par les blessures.
Auteur de 173 buts avec les Spurs, il n'a pas révélé sa prochaine destination et s'est montré très ému samedi. "C'était la décision la plus difficile de ma carrière. Des souvenirs tellement incroyables", a-t-il raconté au côté de Thomas Frank, le nouvel entraîneur de Tottenham, qui prépare sa saison avec une étape en Corée du Sud.
"J'ai besoin d'un nouvel environnement pour me dépasser. J'ai besoin d'un peu de changement, dix ans c'est long. Je suis venu dans le nord de Londres alors que j'étais un gamin, 23 ans, tellement jeune. Je quitte ce club comme un homme, un homme vraiment fier", a expliqué Son.
L'ailier, qui a hérité du brassard de capitaine cette même année 2023, s'est montré moins incisif en 2024/2025, pas épargné par les blessures, commençant même des rencontres sur le banc à l'image de la finale de C3. En 2021/2022, il avait encore fini co-meilleur buteur de Premier League avec 23 réalisations.
Melissa Jefferson-Wooden en 10''65 et Kenny Bednarek en 9''79 ont fait trembler le chrono pour remporter les 100 m des sélections américaines vendredi à Eugene.
Jefferson-Wooden est ainsi devenue la 5e sprinteuse la plus rapide de l'histoire sur la ligne droite.
Médaillée de bronze olympique l'an dernier à Paris, Melissa Jefferson-Wooden (24 ans) a donc continué sur la lancée de son début de saison phénoménal. Elle a améliore de 8 centièmes sa propre meilleure performance mondiale de l'année.
La sprinteuse égale ainsi les chronos de référence de la Jamaïcaine Shericka Jackson, de sa compatriote Marion Jones, tombée pour dopage, et de sa partenaire d'entraînement Sha'Carri Richardson, qui n'a pas disputé les demi-finales vendredi à Eugene.
"J'ai longtemps rêvé de journées comme celle-ci, ça devient concret désormais. C'est irréel, de penser à toutes ces grandes championnes... Faire partie de cette liste c'est assez fou", a-t-elle déclaré en zone mixte.
Jefferson-Woodall a largement devancé vendredi une autre partenaire d'entraînement, Kayla White (10''84) et Aleia Hobbs (10''92), les trois accompagnant donc Richardson sur la ligne droite aux Championnats du monde de Tokyo (13-21 septembre).
"Je suis heureux de ma performance, je savais que j'avais cela dans les jambes, et j'ai encore de la marge", a réagi le 12e meilleur performeur de l'histoire, révélant avoir tout de même été victime d'une crampe à mi-course.
Son chrono, le 2e le plus rapide de la saison derrière le Jamaïcain Kishane Thompson (9''75), lui a permis de devancer Courtney Lindsey (9''82) et le surprenant T'Mars McCallum (9''83), qui auront pour mission d'accompagner Bednarek à Tokyo.
Le trio sera rejoint par le champion du monde et champion olympique en titre Noah Lyles, qui s'est retiré avant les demi-finales après avoir disputé les séries jeudi. Trayvon Bromell (4e en 9''84) et le champion du monde 2019 Christian Coleman (5e en 9''86) devront eux se contenter d'une place dans le relais 4x100 m au Japon.
Belinda Bencic (WTA 20) a été stoppée en 16e de finale du WTA 1000 de Montréal vendredi. La championne olympique de Tokyo 2021 s'est inclinée 6-7 (5/7) 6-2 6-3 devant Karolina Muchova (WTA 14).
Exemptée comme la Tchèque de 1er tour en tant que tête de série, Belinda Bencic n'aura donc gagné qu'un match au Québec, au 2e tour pour pousser la Canadienne Eugenie Bouchard à la retraite. Vendredi, elle a été largement dominée après le gain d'un très long premier set (1h19').
La demi-finaliste du dernier Wimbledon n'a signé qu'un seul break face à Karolina Muchova, dans le premier jeu du match, que la Tchèque a pu tout de suite effacer. Et elle ne s'est procuré que deux opportunités à la relance tout au long des deux dernières manches d'une partie qui a duré 2h43'.
Belinda Bencic, qui avait effacé une balle de premier set à 5-4 sur son engagement, a pourtant survolé les débats dans le tie-break. Mais elle a concédé quatre fois son service dans les deux derniers sets, face à une joueuse qui n'avait plus gagné deux matches d'affilée sur le circuit depuis le mois de mars à Indian Wells.
Servette sera le seul club romand en lice samedi lors de la 2e journée de Super League. Les Grenat accueillent St-Gall à 18h à La Praille.
Eliminé mercredi de la Ligue des champions et battu 3-1 par YB à Berne en ouverture du championnat le week-end dernier, le Servette FC se doit de réagir pour éviter un début de crise. Les Grenat enchaîneront dès jeudi avec le match aller du 3e tour qualificatif de l'Europa League, toujours au Stade de Genève, face à Utrecht.
Le FC St-Gall aborde pour sa part en confiance son deuxième match de la saison. Les Brodeurs se sont offert le scalp du champion en titre Bâle (2-1) samedi dernier lors de la 1re journée. Mais ils n'ont guère brillé loin de leurs bases en fin de saison dernière, avec huit matches d'affilée sans victoire à l'extérieur.
Le deuxième match prévu à 18h verra Winterthour accueillir Young Boys. Les banlieusards zurichois restent sur une victoire face aux Bernois, en février dernier lors de la 24e journée du championnat 2024/25. Enfin, à 20h30, Bâle et Grasshopper en découdront pour la 80e fois en Super League. Les deux équipes ont entamé leur saison sur une défaite le week-end dernier.
En argent sur le 50 m papillon, Noè Ponti lorgne une deuxième médaille dans les Mondiaux de Singapour samedi. Il sera en lice dès 13h43 en finale du 100 m papillon, sa discipline fétiche.
Médaillé de bronze olympique en 2021 et vice-champion d'Europe 2022 sur 100 pap', Noè Ponti vise une quatrième médaille dans un grand championnat en grand bassin. Il en a déjà glané 10 en petit bassin (25 m), dont 6 d'or (3 aux Mondiaux 2024, 3 aux Européens 2023).
Le Tessinois s'avance même comme le favori, après avoir réalisé le meilleur temps tant en séries (50''68) qu'en demi-finales (50''18, à 0''02 de son record de Suisse). Il pourrait bien devenir le premier champion du monde en grand bassin de l'histoire de la natation helvétique.
Ponti (24 ans) aura à nouveau comme principal rival Maxime Grousset (26 ans), sacré sur 50 m en 22''48 (4e meilleur temps de l'histoire) avec 0''03 d'avance grâce à une meilleure touche. Les deux hommes détiennent les deux meilleurs temps de l'année (50''11 pour le Français, 50''18 désormais pour le Tessinois). Les Canadiens Josh Liendo et Ilya Kharun peuvent aussi y croire.
L'équipe de Suisse entame le 2e tour des pré-qualifications pour le Mondial 2027 samedi.
La troupe du coach Ilias Papatheodorou affronte la Slovaquie à Bratislava (dès 18h) en ouverture du groupe D, dans lequel figure également l'Ukraine.
Les données sont plutôt simples pour l'équipe de Suisse, qui avait passé le 1er tour de ces pré-qualifications en gagnant ses six matches entre février 2024 et février 2025. Elle devra éviter la dernière place de sa poule pour décrocher son ticket pour les vraies qualifications et y défier les meilleures équipes du continent.
L'Ukraine, 37e meilleure nation du monde selon le classement de la FIBA, est la favorite logique de cette poule. Mais le contexte de la guerre avec la Russie ne favorise évidemment pas les desseins des Ukrainiens, qui avaient échoué dans les qualifications de l'Euro 2025 après avoir terminé au 12e rang de l'édition 2022.
L'équipe de Suisse en saura plus sur le potentiel de l'Ukraine mercredi prochain lors de la 2e journée, avec un match programmé à Fribourg. Elle accueillera ensuite la Slovaquie le mercredi 13 à Winterthour, avant d'affronter l'Ukraine à Riga en Lettonie le samedi 16 pour son dernier match.