Daniel Koch énumère ses regrets lors de la pandémie
Daniel Koch regrette le confinement des maisons de retraite et la fermeture des frontières décidés pendant la pandémie de coronavirus. Le lockdown de 2020 était en revanche inévitable, indique-t-il jeudi dans la presse alémanique:
La décision de fermer les écoles par exemple a été prise sous la pression de l'étranger, selon l'ancien délégué de l'Office fédéral de la santé publique (OFSP) au Covid-19:
Les fermetures n'étaient pas absolument nécessaires d'un point de vue épidémiologique, «mais elles permettaient bien sûr d'envoyer un message fort».
Fermeture des frontières inutiles
Les droits fondamentaux des personnes vivant en maison de retraite ont en outre été trop fortement restreints lors des interdictions de visites ou de sorties dans les EMS, admet-il:
Daniel Koch estime en revanche que la Suisse n'a pas réagi trop tard après le début de la pandémie. «Il est vrai qu'au tout début, nous avons sous-estimé la vitesse à laquelle l'épidémie allait se propager en Europe. Mais la Suisse a par exemple été le premier pays à interdire les grandes manifestations», explique-t-il. (ats/jch)