Pour conserver leur abonnement Netflix, les Suisses vont devoir mettre la main au porte-monnaie: les tarifs de la plateforme de streaming vont augmenter.
18.11.2021, 14:0028.12.2022, 15:01
Chez Netflix, on est habitué à voir tout prendre la pente ascendante: les records, les vues, les offres de films et de séries. Eh bien, le géant du streaming en profite pour revoir à la hausse autre chose: le prix de ses abonnements en Suisse. Une première depuis 2019.
Les nouveaux tarifs
Sortez les mouchoirs et préparez-vous à verser quelques larmes.
Si l'offre de base de 11,90 francs par mois reste inchangée, voici combien il vous faudra débourser pour les autres tarifs:
- L'abonnement standard passera de 16,9 à 18,9 francs.
- L'abonnement premium coûtera désormais 24,90 francs au lieu de 21,90 francs.
Soit une augmentation entre 12 et 14%, rapporte jeudi 20 Minuten.
Les augmentations prendront effet immédiatement pour les nouveaux abonnés. Et pour ceux sont déjà détenteurs d'un abonnement, ils doivent s'attendre à voir leur facture augmenter dans le courant de ces prochains mois.
Citée par le Tages Anzeiger, la plateforme s'est justifiée ainsi:
«Nous modifions nos prix de temps en temps afin d'élargir et d'améliorer continuellement la gamme de séries, de films et de spectacles, ainsi que la qualité de notre service»
Une porte-parole de Netflix
Le classement va également être modifié
Autre changement notable: le classement des dix meilleurs titres, qui sera désormais basé sur le nombre d'heures de visionnage. Le film «Red Notice» avec Ryan Reynolds et la série «Narcos: Mexico» tiennent actuellement la tête du classement. (mbr)
L'épisode de gel qui a frappé vignes, vergers et cultures maraîchères durant la semaine du 22 avril a causé des dégâts moins graves que redoutés. En Suisse romande, ce sont surtout les vignobles du Chablais et de Genève qui ont été touchés.
Le brusque retour du froid à partir de la seconde quinzaine d'avril a inquiété bon nombre de vignerons et agriculteurs, compte tenu d'une floraison qui avait deux à trois semaines d'avance. Deux semaines après ces températures glaciales, les dégâts se révèlent très localisés, selon un premier bilan de professionnels du terroir.