Suisse
Schaffouse

Manif' anti-mesures Covid à Schaffhouse, une «sottise» pour la police

Manif' anti-mesures Covid à Schaffhouse, une «sottise» pour la police

Corona-Skeptiker bewegen sich bei einem nicht bewilligten Demonstrationsumzug gegen die Corona-Massnahmen und Maskenpflicht durch Schaffhausen, aufgenommen am Samstag, 17. April 2021. (KEYSTONE/Ennio  ...
Image: KEYSTONE
Un millier de personnes se sont rassemblées samedi après-midi à Schaffhouse pour dénoncer les mesures de lutte contre le coronavirus. Ce rassemblement n'a pas été autorisé par les autorités.
17.04.2021, 16:2919.04.2021, 10:23
Plus de «Suisse»

Présente en nombre, la police s'est tenue en retrait parce que le rassemblement se déroulait de manière pacifique. «Nous restons calmes nous aussi. Il n'y a pas de remède contre la sottise», a-t-elle écrit sur Twitter. Les manifestants, qui ne portaient pas de masque, ont occupé la zone piétonne durant trois heures.

La ville de Schaffhouse avait dans un premier temps donné son autorisation pour cette manifestation. Elle l'a retirée jeudi, redoutant qu'elle ne débouche sur des troubles à la sécurité et à l'ordre public. Les organisateurs de la manifestation ont toutefois maintenu leur appel à se rassembler. (ats)

Chaude nuit entre police et jeunes à Saint-Gall

1 / 10
Chaude nuit entre police et jeunes à Saint-Gall
Des policiers observent la situation sur la Place Rouge, où plusieurs centaines de jeunes se sont rassemblés, ce vendredi 2 avril 2021, à Saint-Gall.
source: sda / michel canonica
partager sur Facebookpartager sur X
Ceci pourrait également vous intéresser:
3 Commentaires
Comme nous voulons continuer à modérer personnellement les débats de commentaires, nous sommes obligés de fermer la fonction de commentaire 72 heures après la publication d’un article. Merci de votre compréhension!
3
Pourquoi le général Guisan était obsédé par son image
On fête, cette année, les 150 ans de la naissance du général Henri Guisan. L'homme élu comme chef de l'armée suisse le 30 août 1939 présida aux destinées du pays durant la Seconde Guerre mondiale. Sa résistance autant que sa vanité expliquent le contrôle exercé sur son image publique.

En 2011, les téléspectateurs élirent Henri Guisan «Romand du siècle» devant Nicolas Hayek, Auguste Piccard, Claude Nicollier, Jean Tinguely et bien d’autres encore. Des nazis suisses, dont les téléphones étaient placés sur écoute, planifièrent son assassinat en 1941. Logique, le commandant en chef de l’Armée suisse était devenu un symbole de la résistance depuis le rapport du Grütli de 1940.

L’article