Le couple de stars un peu moins stars qui a acheté la maison des Clooney, c'est Olivia Culpo et Christian McCaffrey. Elle, c'est une ancienne Miss Univers devenue influenceuse et lui, un joueur de la NFL. Ils se sont mariés cet été.
Après cette union à l'Américaine où tout le monde était beau, tout le monde était gentil, il leur fallait un nid douillet afin de s'installer convenablement dans leur vie maritale. Et quoi de mieux qu'une propriété de 12 000 mètres carrés pour démarrer ce mariage en beauté.
Le couple a donc acheté la baraque des Clooney à Los Angeles pour 14,5 millions de dollars, selon TMZ. L'acteur en avait fait l'acquisition en 1995 pour seulement 2,2 millions de dollars. Avant lui, elle appartenait à la chanteuse du groupe Fleetwood Mac, Steve Nicks.
D'abord, ce n'est pas juste une vulgaire maison, mais bien un manoir à l'Américaine, avec sa pierre de taille et ses fenêtres en saillie.
Il comprend six chambres, une piscine et un terrain de tennis. A 14,5 millions, c'est un peu le minimum syndical. Mais la maison contient d'autres surprises.
Bienvenue à Poudlard!
La décoration est à l'image de l'endroit, classique, voire un peu moyenâgeuse même si on notera le bulldog au-dessus du buffet.
Le salon télé avec... sa télé, mais aussi son téléphone fixe, objet de collection rare et précieux.
La cuisine ressemble à n'importe quelle cuisine dans un catalogue Pottery Barn.
Ci-dessous, l'une des chambres à coucher. La moquette ainsi que le lit ne sont pas de première génération. L'ensemble mériterait un coup de fraicheur.
Une autre pièce a été aménagée comme salle de jeux. Amal et George Clooney ont des jumeaux, une fille et un garçon, qu'ils tentent de protéger de leur célébrité coûte que coûte. L'acteur en parlait récemment dans une interview pour GQ.
De son côté, Olivia Culpo a laissé entendre qu'elle agrandirait bientôt sa famille, faisant de ce luxueux domaine l'endroit idéal pour élever des chérubins. Personne ne va la contredire.
On termine sur l'extérieur avec la piscine et son jacuzzi, un endroit joli, mais pas assez fou pour qu'on ait quelque chose de marrant à dire dessus.