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Lehmann: «Nous devons nous assurer que la nouvelle UBS soit un succès»

Notre direct avec les principales informations sur le rachat de Credit Suisse par UBS. Revivez l'assemblée générale historique de CS par ici 👇

Team watson

L'essentiel en bref 👇

• La dernière Assemblée générale de la Credit Suisse a eu lieu le mardi 4 avril 2023 au Hallenstadion de Zurich. Elle était dirigée par le président du conseil d'administration, Axel Lehmann.
• Avant même l'AG, il a fait retirer plusieurs points de l'ordre du jour, tels que la demande de décharge pour le conseil d'administration et la direction générale.
• Axel Lehmann et ses collègues administrateurs ont réussi à faire passer la plupart de leurs demandes et ont été réélus. La seule surprise: les actionnaires ont rejeté la rémunération de la direction générale.
• En général, cette dernière Assemblée générale s'est déroulée plutôt paisiblement au vu du contexte. Lehmann a même reçu des éloges et des applaudissements. Il semblait que les actionnaires ne lui assignaient pas la même responsabilité qu'à Urs Rohner, qui avait été président du conseil d'administration pendant dix ans avant Lehmann.

15:57

La fin

Credit Suisse est de l'histoire ancienne, la dernière assemblée générale est terminée. Axel Lehmann qualifie la fin de la CS comme un «tournant historique». Cependant, il est maintenant nécessaire de regarder vers l'avenir. Comme le présidet l'a rappelé, la situation est grave. La nouvelle UBS doit absolument être un succès. «Sinon, ce sera vraiment catastrophique».

Mais pour aujourd'hui, Lehmann clôture l'assemblée générale et invite les participants par le traditionnel apéritif. Une tradition qui prend fin irrévocablement.

15:31

On arrive vers la fin

Le président Axel Lehmann clôture l'assemblée générale. Il invite les présents au traditionnel apéritif, mettant ainsi fin à une tradition qui touche à sa fin avec la dernière assemblée générale de la Credit Suisse.

15:30

Maintenant, il s'agit de la rémunération pour la direction et le conseil d'administration

Les montants proposés pour la rémunération de l'année en cours ne seront versés que partiellement, souligne le président Axel Lehmann. Après tout, la plupart ne seront plus en poste que pour «quelques semaines ou mois». Tout d'abord, un vote est organisé sur la rémunération du conseil d'administration: les actionnaires acceptent avec 50,42%. Ensuite, un vote est organisé sur la rémunération de la direction et c'est la surprise de l'assemblée générale. Seulement un peu plus de 48% ont voté en faveur, ce qui signifie que cette proposition est rejetée.

15:08

Election d'Axel Lehmann

Le cycle d'élections commence par la réélection d'Axel Lehmann en tant que membre du conseil d'administration et président de Credit Suisse. Seuls 55% des actionnaires le réélisent, tandis que près de 44% s'y opposent. Le reste ne se prononce pas.

Les autres membres du conseil d'administration sont réélus pour un an: Mirko Bianchi (52,39%), Iris Bohnet (51,76%), Clare Brady (54,64%), Christian Gellerstad (50,05%), Keyu Jin (52,05%) et Amanda Norton (55,94%).

15:06

Elections au conseil d'administration

Jusqu'à ce que l'accord entre UBS et CS soit légalement contraignant, Credit Suisse doit continuer d'avoir sa propre direction. C'est pourquoi 7 des 12 membres actuels du conseil d'administration souhaitent être réélus – pour un an, sachant qu'ils ne seront plus en fonction. Sept est le nombre minimum pour le conseil d'administration de CS. C'est pourquoi Lehmann souligne que tous les sept doivent être réélus.

14:49

Lehmann avertit

Entre deux interventions, Axel Lehmann se fait remarquer par une intervention qui sonne comme un avertissement sur la situation dans laquelle le monde bancaire suisse se trouve. Le président lance: «Nous devons nous assurer que la nouvelle UBS soit un succès. Sinon, cela deviendra vraiment catastrophique».

Image: ats

14:39

Les responsables ne sont pas là

L'assemblée générale se déroule étonnamment calmement. On a l'impression que les actionnaires présents sont d'accord sur le fait que les véritables responsables de la fin de Credit Suisse ne sont pas assis sur le podium. Comme l'a récemment formulé la NZZ: le grand absent est Urs Rohner, qui a été président du conseil d'administration de Credit Suisse pendant dix ans... avant Lehmann.

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14:02

Vote sur la rémunération

Assez attendu, c'est maintenant le tour du vote – seulement consultatif, mais très sensible – sur la rémunération du conseil d'administration, de la direction et du conseil consultatif. Celui-ci est accepté – mais c'est serré – avec 50,06% des voix. La réponse de Lehmann: «Nous prenons note».

Sinon 61% des actionnaires ont approuvé le rapport annuel.

14:00

Le vote sur l'enquête spéciale

Après le marathon de questions, le premier vote concerne la demande d'une enquête spéciale présentée par l'actionnaire Patrik Salzmann. Seulement 3,6% des voix ont approuvé la demande, plus de 46% y étaient opposés et 50% se sont abstenus. Ensuite, l'AG vote sur le rapport annuel. Celui-ci est adopté avec 61,41% des voix favorables.

13:59

Certains sont plus revendicatifs que d'autres

13:58

La comparaison avec le Costa Concordia

Un actionnaire établit une comparaison avec le Costa Concordia qui a sombré en 2011 et rappelle à l'assemblée que le capitaine fautif, Francesco Schettino, a été emprisonné pour cela. Il plaide pour que les membres du conseil d'administration de Credit Suisse soient également emprisonnés. Un seul autre appel de ce type est entendu dans le public. Sinon, les actionnaires sont relativement calmes.

13:57

Le marathon de questions se poursuit

Les actionnaires posent des questions sans fin et expriment leur déception – envers les dirigeants de la CS, la politique et l'accord entre CS et UBS. Lehmann doit répondre à chaque question, tandis que Körner, Diethelm et Joshi restent assis et écoutent les interventions. L'ennui s'installe également parmi le public. Heureusement, il y a des sandwiches et des boules Lindor et des barres de chocolat Cailler offertes de temps en temps.

13:43

Les critiques sont de plus en plus virulentes

Les interventions se poursuivent. La jeune actionnaire Hostelmann demande que les bonus soient interdits avec effet immédiat et que tous ceux versés jusqu'ici par les fonctionnaires de Credit Suisse soient remboursés. «Vous videz nos caisses publiques!» critique-t-elle.

L'actionnaire Schneider s'emporte quant à elle contre le conseil d'administration et affirme que celui-ci aurait conduit la banque à la ruine. Il qualifie les membres de personnes «cupides et incompétentes» qui n'auraient jamais dû recevoir le titre de Bank-Manager. Schneider appelle les actionnaires à révoquer entre eux les membres du conseil d'administration et le président une bonne fois pour toutes.

12:48

La plainte contre le blog financier «Inside Paradeplatz» sous le feu des critiques

Un actionnaire a exigé que la direction de Credit Suisse retire sa plainte contre le portail d'information zurichois «Inside Paradeplatz» pour ne pas laisser s'accumuler de nouveaux frais d'avocat.
La banque avait déposé une plainte civile de 265 pages auprès du tribunal de commerce de Zurich contre le portail.

Image: AP Keystone

Le blog était poursuivi pour 52 articles publiés entre le 27 juillet - jour où Ulrich Körner a été nommé nouveau CEO du Credit Suisse - et le 28 octobre. Par la suite, la grande banque a également déposé une plainte pénale contre l'exploitant du portail, le journaliste Lukas Hässig.

12:26

Des noix offertes

Un actionnaire propose des solutions concrètes: il demande que «les responsables de CS, d'UBS ou de qui que ce soit d'autre» se battent pour que les pertes subies par les actionnaires puissent être déduites de l'impôt fédéral.

S'ensuit une scène surréaliste. L'homme sort une poignée de noix qu'il souhaite offrir aux représentants de CS. Elles auraient coûté environ autant qu'une action de la banque. Il a déjà mangé les noix et a ensuite recollé les coques, ce sont donc des noix... creuses. Lehmann le remercie.

12:20

20% du capital-actions est encore détenu par des Suisses

Un actionnaire souhaite savoir combien d'actions de Credit Suisse sont encore détenues par des Suisses – compte tenu de la perte importante d'environ 4,5 milliards de francs que les actionnaires ont subis. La majorité des petits actionnaires sont en Suisse, répond Axel Lehmann. Mais seulement 20% du capital-actions est encore détenu par des Suisses.

12:04

Un actionnaire: «J'ai honte de ce gâchis»

Francesco De Giorgio, un actionnaire, demande au Conseil d'administration d'abandonner la plainte contre le portail financier «Inside Paradeplatz». La plateforme avait, autrefois, qualifié Credit Suisse de «fiasco de la Paradeplatz» (la Paradeplatz est la place des banques à Zurich). Des reportages ultérieurs ont conduit la CS à poursuivre ce portail en justice.

Lehmann devrait plaider en faveur de l'abandon de cette plainte par UBS. Puis, De Giorgio s'adresse au public: «Votre argent n'est plus en sécurité en Suisse.»

Il se sent responsable de le dire et lutte soudainement avec les larmes. «Je suis honteux de ne pas avoir pu empêcher ce désordre en tant qu'actionnaire. Au revoir.»

11:48

Conflit entre Lehmann et un actionnaire

Lehmann essaie d'arrêter l'avocat zurichois au micro qui pose une série de questions, mais celui-ci insiste sur son droit en tant qu'actionnaire de poser des questions et reçoit le soutien du public.

11:47

Distribution de chocolat

Des barres de chocolat Cailler rouges sont distribuées aux actionnaires pendant que l'un d'entre eux, un avocat de Zurich, pose toute une série de questions en anglais...

11:41

Au tour d'Actares de passer à l'attaque

La représentation du regroupement d'actionnaires Actares, qui a pour objectif de promouvoir une économie durable en Suisse, prend également la parole. Son représentant souligne également comment son association à, depuis des années, averti de tout ce qui ne va pas à la Credit Suisse. Il ne reçoit pas non plus de réponses substantielles aujourd'hui.

11:36

Lehmann répond

Il a déjà donné l'ordre que des réponses détaillées soient données à Ethos. A ce stade, il ne s'agissait plus que d'obtenir le meilleur résultat possible. Il ne peut pas répondre aux questions juridiques. Jusqu'à présent, aucune action en justice n'a été intentée contre d'anciens responsables.

En ce qui concerne les bonus, Lehmann fait référence à la décision des autorités financières selon laquelle toutes les rémunérations différées doivent être retenues. Sinon, toutes les obligations que la CS a contractées seront reprises par l'UBS.

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11:34

Ethos attaque la mauvaise gestion de CS

Le directeur des représentants des actionnaires Ethos, Vincent Kaufmann, souligne comment Ethos a souligné les mauvaises pratiques depuis des années. Ainsi, le système de bonus est une raison majeure pour laquelle de nombreux employés de la CS ont pris des risques excessifs.

Kaufmann veut obtenir un meilleur prix pour les actionnaires de la CS. Le prix n'a pas été juste ou les actionnaires ne pouvaient pas juger si le prix était juste, car des informations importantes ont été cachées.

Il demande au conseil d'administration de clarifier qui est responsable de la catastrophe. D'autant plus que les actionnaires ont le droit de poursuivre en justice les manquements. Kaufmann veut également savoir s'il y a eu des compensations inappropriées pour les anciens membres du conseil d'administration ou les gestionnaires.

Il est clair qu'Ethos essaie d'obtenir quelque chose de plus pour les actionnaires qu'elle représente. Ce sont principalement des caisses de pension.

11:30

C'est l'heure des questions

Le temps de parole est limité à 5 minutes par intervenant. Le premier point à l'ordre du jour est le rapport annuel. Le premier actionnaire se dirige vers le micro. Il porte une cravate rouge comme une carte rouge pour la direction de la CS, comme il l'explique. Il critique tout le monde : la direction de la CS, les auditeurs, la Finma, la politique et la ministre des Finances, Karin Keller Sutter.

11:26

De nombreux actionnaires parlent

Les actionnaires de Credit Suisse profitent de l'occasion de l'assemblée générale pour exprimer une dernière fois leur mécontentement. Peu de temps après le début de l'événement, une vingtaine d'interventions avaient déjà été enregistrées auprès de la grande banque.

Une porte-parole a déclaré à l'agence de presse AWP qu'il y en aurait probablement d'autres à venir. Les inscriptions pour les discours ou les questions peuvent être effectuées en continu pendant toute la durée de l'événement.

Plus de 2 000 actionnaires étaient inscrits pour mardi. Selon Credit Suisse, environ 1 700 actionnaires sont présents sur place. C'est nettement plus que lors de la dernière assemblée générale physique en 2019 avant la pandémie de Covid-19, où environ 1 300 actionnaires étaient présents.

11:14

Plusieurs membres du conseil d'administration ne se représenteront pas

Le président Lehmann clarifie l'ordre du jour: les votes sur la distribution des dividendes, la décharge de la direction et du conseil d'administration ainsi que la création d'un nouveau système de bonus sont annulés. De plus, les membres du conseil d'administration Shan Li, Blythe Masters, Richard Meddings et Ana Paula Pessoa ont renoncé à se représenter.

11:13

Körner conclut son discours : la nouvelle banque a beaucoup de potentiel

Après 167 ans, Credit Suisse abandonne son indépendance. En tant que CEO, il s'engagera à ce que la fusion avec UBS soit finalisée et que le «grand potentiel des deux banques» soit pleinement réalisé. À la fin, il dit doucement : «Je vous remercie.»

11:04

A Ulrich Körner de parler, c'est le CEO de Credit Suisse

Ulrich Körner (lui 👇) dit être venu chez Credit Suisse avec la conviction de débarrasser l'entreprise de ses passifs. Cependant, pour des raisons de temps, cela n'a pas été possible, et le CEO le regrette également. Ce qui s'est passé au cours des dernières semaines le hantera encore longtemps.

Image: KEYSTONE

Körner s'est directement adressé aux actionnaires dans la salle et les a remerciés pour leur fidélité. Il leur a également assuré qu'il partageait leur déception – ainsi que celle du «grand public».

«Nous avions un plan pour créer une nouvelle Credit Suisse», a déclaré Körner. La nouvelle direction avait travaillé intensément à la restructuration de la banque et était «sur la bonne voie» pour atteindre tous les objectifs fixés pour 2023, a déclaré Körner. «Nous étions en train de tout mettre en œuvre pour redresser la barre et poser des bases solides pour CS».

Selon Körner, l'effondrement est dû à de «fausses rumeurs» et, pour des raisons juridiques, il n'a pas été possible de répondre à ces «fausses allégations».

11:00

Les remerciements

Lehmann remercie les actionnaires et les employés pour leur confiance et leur soutien. Il remercie également UBS. «Elle prend en charge une banque dotée d'excellents employés et d'une clientèle importante.»

10:57

«Le CS telle qu'on la connaissait ne peut plus exister»

On n'a pas réussi à faire face à la série de scandales du passé et aux mauvaises nouvelles avec de bons développements. «Le CS telle qu'on la connaissait ne peut plus exister». C'est pourquoi il faut maintenant se tourner vers l'avenir, a déclaré Lehmann. «On ne peut plus rien changer à la décadence de Credit Suisse, aux circonstances et aux divers facteurs d'influence.»

Avec le président de l'UBS Colm Kelleher et le nouveau directeur général de l'UBS Sergio Ermotti, il s'emploiera jusqu'au bout à trouver les «meilleures solutions» pour les employés.

10:54

L'excuse du tweet

«Nous avons lutté pour trouver des solutions jusqu'au bout», a déclaré le président du conseil d'administration. Les problèmes accumulés ont ébranlé la confiance, qui a peu à peu disparu. Les médias sociaux ont été utilisés comme un accélérateur de feu. La banque et ses employés ont essayé de lutter contre la tendance à la baisse, mais cela n'a pas suffi. «Nous avons lutté pour trouver des solutions jusqu'au bout»

Chute de Credit Suisse: tout aurait commencé par un tweet

10:52

Le président du conseil d'administration, Axel Lehmann, prend la parole

«Nous avons voulu tout faire pour redresser la barre!», commence-t-il son discours. Il s'excuse de ne pas avoir pu récupérer la confiance perdue.
Il était déjà clair il y a un an qu'une transformation «stratégique et culturelle» était nécessaire - l'objectif était de corriger les erreurs commises dans le passé. Il y a même eu des progrès au cours de la dernière année, mais malgré tous les efforts déployés, ils ont échoué: «La banque était irrécupérable». La seule alternative à la fusion aurait été la restructuration bancaire. «Avec le pire des scénarios - à savoir la perte totale pour les actionnaires, des risques imprévisibles pour les clients, de graves conséquences pour l'économie nationale et les marchés financiers mondiaux».

10:16

Le maître de cérémonie: Axel Lehmann

Axel Lehmann, le président du conseil d'administration de Credit Suisse, dirigera l'Assemblée générale aujourd'hui. Avant même le début de l'AG, il a fait retirer certains points de l'ordre du jour, tels que la demande de décharge pour le conseil d'administration et la direction.

10:14

Il fait froid

Il fait glacial devant le Hallenstadion de Zurich. Les actionnaires entrent petit à petit. A l'intérieur, il y a du café et avant d'aller s'asseoir, on se saisit d'un stylo et un petit bloc-notes de Credit Suisse. Deux souvenirs qui devraient bientôt être une rareté. Les organisateurs attendent entre 1700 et 2000 personnes, un peu plus qu'avant la pandémie, lorsque les assemblées générales physiques avaient lieu.

Image: ats

10:11

Les actionnaires arrivent

Les premiers actionnaires arrivent pour l'ouverture des portes du Hallenstadion. Alors qu'une visiteuse qualifie le scandale de la CS de «honte», d'autres ne le trouvent pas aussi catastrophique. Un homme espère que la direction de CS sera mise «en cause», tandis qu'un autre n'est là que pour le stylo...
Une homme assène néanmoins: «j'ai perdu 60 000 francs.»

9:58

Actares votera contre les rachats d'actions à l'AG d'UBS

L'association d'actionnaires Actares votera «non» à deux points de l'ordre du jour de l'assemblée générale (demain) de l'UBS. Concrètement, il s'agit du nouveau programme de rachat d'actions et du rapport de durabilité, selon un communiqué publié mardi.

Compte tenu de la reprise de Credit Suisse avec des garanties de l'Etat, la base de capital ne doit pas être affaiblie, explique-t-on pour justifier le refus du programme de rachat d'actions. UBS avait certes stoppé les rachats d'actions après la reprise du CS. Malgré cela, un nouveau programme de rachat d'actions est resté à l'ordre du jour de l'AG. On peut toujours lancer un programme, cela nous donne «les options», a déclaré un porte-parole de la banque à l'agence de presse AWP il y a deux semaines.

9:50

Les protecteurs du climat manifestent

Des militants pour le climat ont manifesté mardi devant l'Assemblée générale du Credit Suisse au Hallenstadion de Zurich. La police est sur place, mais n'intervient pas.

Les protecteurs du climat ont dépeint le Credit Suisse comme un Titanic et ont averti que l'humanité périrait également. Une vingtaine de personnes se sont rassemblées pour l'action de protestation avec des banderoles sur la place devant le Hallenstadion.

9:50

Les prix des actions, les salaires et les primes suscitent le ressentiment

Les actionnaires ne voteront pas sur le rachat de Credit Suisse par UBS aujourd'hui. Car la prise de contrôle se fait dans le cadre du droit d'urgence et sur ordre du Conseil fédéral. Mais ce n'est pas la seule raison du mécontentement des actionnaires: ils ne reçoivent que 76 centimes par action pour leurs actions, ce qui est une fraction de ce que valaient les actions CS jusqu'à récemment.

Et les salaires et les primes du conseil d'administration et de la direction ne participeront pas non plus à bonne humeur ambiante.

9:47

La dernière AG de Credit Suisse aujourd'hui à partir de 10h30 à Zurich

La dernière Assemblée générale ordinaire du Credit Suisse aura lieu aujourd'hui à 10h30. Les actionnaires de la banque en faillite arrivent au Hallenstadion de Zurich-Oerlikon.

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