International
Chine

Xi Jinping dénonce la répression des gouvernements occidentaux

Xi Jinping en a un peu marre du comportement des gouvernements occidentaux

Xi Jinping est le président de la république populaire de Chine depuis 2013.
Xi Jinping est le président de la république populaire de Chine depuis 2013.Image: sda
Le dirigeant pointe notamment du doigt les relations tendues entre son pays et les Etats-Unis.
07.03.2023, 05:4307.03.2023, 07:23
Plus de «International»

Le président chinois Xi Jinping a condamné lors d'une session parlementaire à Pékin «l'endiguement» et la «répression» de son pays par les Occidentaux, selon un média d'Etat.

«Des pays occidentaux, menés par les États-Unis, ont mis en oeuvre une politique d'endiguement, d'encerclement et de répression contre la Chine, ce qui a entraîné des défis sans précédent pour le développement de notre pays»
Xi Jinping

Des tensions sino-américaines:

«L'environnement externe du développement de la Chine a connu des changements rapides. Les facteurs incertains et imprévisibles ont considérablement augmenté»
Xi Jinping

Les sujets de friction se sont multipliés ces dernières années, du traitement des musulmans ouïghours au déséquilibre de la balance commerciale, en passant par Taïwan, la domination dans les technologies de pointe ou les accusations d'espionnage.

Elles se sont traduites par des sanctions occidentales et notamment américaines visant la Chine, auxquelles Pékin a répliqué. (ats/jch)

La plus grande porcherie du monde en Chine
Video: watson
0 Commentaires
Comme nous voulons continuer à modérer personnellement les débats de commentaires, nous sommes obligés de fermer la fonction de commentaire 72 heures après la publication d’un article. Merci de votre compréhension!
Pourquoi cette assistante suit Trump partout avec une imprimante
Dans notre série des personnalités qui gravitent autour des deux candidats à l'élection présidentielle, voici Natalie Harp. Son soutien au républicain est très remarqué depuis qu'elle s'affaire dans la salle d'audience de Manhattan, où son patron est actuellement jugé. «L'assistante favorite de Trump», selon le New York Times, lui imprimerait de bonnes nouvelles pour le rassurer.

«Elle a été engagée pour polir l'ego de Trump.» Cette vanne est sortie de la bouche de l'humoriste Jimmy Kimmel, il y a quelques jours. La star des late shows américains, régulièrement pris à partie par le candidat républicain depuis quelques mois, n'en rate pas une lorsqu'il s'agit d'égratigner son actuel meilleur ennemi. Or, le tacle n'a pas été balancé totalement gratuitement.

L’article