De nombreux enfants ne bénéficient pas d'un environnement bienveillant, que ce soit à l'école ou au sein de leur famille. En Suisse, les chiffres sont effrayants: 1500 pris en charge par les urgences pédiatriques des hôpitaux, chaque année. Un nombre qui est loin de s'être atténué avec la crise du Covid-19. Le 30 avril marque la journée internationale contre la violence dans l'éducation des enfants.
En 2020, la violence domestique a augmenté de 2,3%, et dans la moitié des cas recensés par la police, des enfants sont présents. Fait alarmant: les châtiments corporels ne sont toujours pas interdits par la loi suisse, tant qu’ils ne laissent pas de blessures visibles.
Happy International Day to #EndCorporalPunishment, the most common form of violence against children. Here's to treating every little PERSON with the respect and human dignity they deserve! https://t.co/ZjJd6gQkwC #Equality #Respect @GIendcorpun @ChildRightsCnct pic.twitter.com/WJ6oFVBagK
— CSIE (@csie_uk) April 30, 2021
(jch)