Un internaute s'est amusé avec l'IA et a imagé une histoire dans laquelle l'ex-locataire de la Maison Blanche se fait arrêter et mettre en prison. Et le résultat est bluffant.
21.03.2023, 21:2822.03.2023, 06:09
«Que s'est-il passé?» Nombre d'internautes ont dû regarder deux fois le thread du compte Twitter de @EliotHiggins. «Faire des photos de l'arrestation de Trump en attendant l'arrestation de Trump», a sobrement expliqué en légende celui qui se présente comme directeur artistique.
Pour rappel, l'Amérique était suspendue ce mardi à une possible inculpation pénale, voire arrestation symbolique, à New York de l'ancien président Donald Trump pour avoir acheté le silence d'une actrice de films pornographiques avec qui il aurait eu une liaison en 2016. C'est du moins ce que l'ex-locataire de la Maison Blanche avait avait annoncé sur sa plateforme Truth Social.
Si le scénario ne s'est pas matérialisé dans la réalité pour l'instant, des petits malins (et créatifs) comme Eliot Higgins n'ont pas hésité à mobiliser leur art, en donnant à l'arrestation un aspect plus vrai que nature à l'aide de l'intelligence artificielle. A tel point que certains internautes s'y sont laissés prendre.
«Pour une seconde, j'ai cru que c'était vrai»
Un internaute sur Twitter
D'autres ont moins goûté à la plaisanterie. «Est-ce que c'est supposé être drôle?», s'interroge un internaute blasé.
L'histoire imagée se passe de commentaires, de la grandiose arrestation du fuyard en cravate, à son accession au statut de chef de gang derrière les barreaux, le tout en tenue de circonstances. Epique, vous avez dit?
@EliotHiggins.
@EliotHiggins.
@EliotHiggins.
@EliotHiggins.
@EliotHiggins.
@EliotHiggins.
@EliotHiggins.
@EliotHiggins.
@EliotHiggins.
@EliotHiggins.
@EliotHiggins.
@EliotHiggins.
@EliotHiggins.
@EliotHiggins.
@EliotHiggins.
@EliotHiggins.
@EliotHiggins.
@EliotHiggins.
@EliotHiggins.
@EliotHiggins.
@EliotHiggins.
@EliotHiggins.
@EliotHiggins.
@EliotHiggins.
The End.
Et si vous êtes un fan de Trump, voici de quoi faire... 👇
(jod)
C'est peu dire que le duc de Sussex se serait bien passé de cette mention dans un procès de 73 pages contre le rappeur soupçonné de trafic sexuel, P. Diddy.
Comme un dangereux air de déjà vu. Après son oncle le prince Andrew, plus tôt cette année, au tour du prince Harry d'avoir la désagréable surprise de découvrir son nom étalé en toutes lettres dans un procès à 30 millions de dollars pour trafic et agression sexuelle. L'un des nombreux procès intentés contre «P. Diddy», «Puff Daddy», «Diddy» ou, de son vrai nom, Sean Combs, le célébrissime rappeur au cœur de l'actualité, depuis que ses domiciles de Los Angeles et Miami ont fait l'objet d'une descente du FBI ce lundi.