Aux Etats-Unis, Joe Biden s’est dit «ravi» de cette avancée, saluant une «campagne diplomatique tenace» de son administration, tandis que Donald Trump s’est attribué le mérite de l’accord, promettant de ne pas laisser Gaza redevenir un «refuge pour terroristes».
En Israël, le président Isaac Herzog a décrit la trêve comme un «bon choix» pour ramener les otages. Le Hamas, de son côté, a attribué cet accord à la «ténacité légendaire» de son peuple tout en réaffirmant son engagement pour la libération palestinienne.
Le président égyptien Abdelfattah al-Sissi a présenté cet accord comme le fruit de «plus d’un an d’efforts acharnés», appelant à accélérer l’aide humanitaire. En Jordanie, le ministère des Affaires étrangères a exhorté à un acheminement immédiat de l’aide.
L’Union européenne, par la voix d’Ursula von der Leyen, a salué une avancée porteuse «d’espoir pour une région qui a trop souffert», tandis qu’Olaf Scholz, chancelier allemand, a insisté sur la nécessité d’appliquer l’accord «à la lettre».
Au Royaume-Uni, le Premier ministre Keir Starmer a estimé que cette annonce était attendue depuis «trop longtemps», appelant à une «solution à deux Etats». En Italie, Antonio Tajani a qualifié cet accord d’«excellente nouvelle» et Pedro Sanchez, en Espagne, a souligné son importance pour la «stabilité régionale». La Belgique, représentée par Alexander de Croo, a exprimé son «immense soulagement» pour les otages et leurs familles, tandis que la Turquie espère que cette trêve ouvrira «la voie à une paix durable».
Enfin, les Nations unies, à travers Antonio Guterres, ont salué cette «première étape cruciale» pour alléger les souffrances humanitaires. Le CICR s’est dit prêt à faciliter les libérations et à augmenter son assistance sur le terrain. L’ensemble de ces réactions reflète un espoir fragile mais réel, conditionné à la mise en œuvre effective de cet accord historique. (mbr avec ats)