Sortez les autotests pop-corn: épisode 1012, saison 2 de la série des conférences de presse de l'OFSP. Mais avant cela, résumé de l'épisode précédent:
Dans l'épisode du jour, on sent bien que l'Office fédéral de la santé publique tente de toutes ses forces de nous montrer le bout du tunnel (alors que la population regarde le doigt avec une larme sur la couture du masque). Voici d'ailleurs une petite série de brèves de comptoir déclarations officielles des personnages principaux:
Et puis, heureusement, bonne nouvelle, on y croit, soyons positifs, l'histoire du verre à moitié plein, tout ça🤞: cet épisode 1012 de l'OFSP coïncide avec l'arrivée en fanfare pharmacie des fameux autotests.🎉 N'est-ce pas Monsieur le chef de la section Gestion de crise et collaboration internationale de l’OFSP que c'est une bonne nouvelle, mmmh? 🙏
Bon, ne baissons pas les bras, puisqu'avec la vaccination et l'immunité de la population qui augmente nous devrions pouvoir bientôt protéger les citoyens de manière satisfaisante, n'est-ce pas Monsieur Mathys?
Ok, ok, ok, ok, mais de toute façon, fin avril nous devrions assister à un assouplissement des mesures, non?
C'est déjà la fin de ce 1012e épisode de «OFSP: la conférence de presse». A noter tout de même cette excellente nouvelle pour les vacanciers: si vous avez décidé de profiter de cette pause pascale pour aller vous dorer l'épiderme dans un coin charmant et paisible, sachez que la Confédération a levé l'obligation de quarantaine au retour... d'Israël.
Pour Emmanuel Macron, c'est une évidence: c'est sur les bancs d'école qu'on apprend la vie la fragilité des promesses. Alors que les têtes blondes françaises sont à nouveau forcées de suivre les cours à distance, le président de la République a décidé de surprendre une classe en visioconférence pour leur parler du Covid-19. (Silence dans le fond!) Quelques jours après avoir avoué des erreurs de gestion dans cette crise, Macron l'a assuré devant plusieurs rangées de collégiens endormis ébahis:
Suite de l'affaire du sosie de Polnareff des restos clandestins en France: Pierre-Jean Chalençon, l'homme présumé coupable d'avoir organisé des sauteries gourmandes pour la haute société parisienne, n'a visiblement pas apprécié que la chaîne M6, responsable du reportage qui a inauguré la baston, continue de marteler que oui, des ministres ont bien trempé leur privilège dans l'un ou l'autre de ces festins prohibés. Aujourd'hui, le collectionneur d'art et fan de Napoléon 1er a répliqué sur la radio française RMC avec des arguments dignes d'un empereur de la punchline:
Et puis, selon lui, les ministres «ont mieux à manger chez eux, dans leurs salles à manger et leurs palais». Ce n'est pas les internautes qui diraient le contraire, eux qui ont passé tout leur week-end de Pâques à épingler la cuisine de son partner in crime Christophe Leroy. 👇
On a posé la question qui tue à notre tireur d'élite spécialiste du hockey sur glace suisse : qui passera le cap des pré play-offs? Selon Klaus Zaugg, une chose est sûre, Bienne doit passer sinon c'est «un petit peu la honte» (OK.)
D'ailleurs les pré play-offs de National League débutent ce mercredi, avec notamment Bienne (7e de la saison régulière) face à Rapperswil (10e). Avant de vous jeter sur la glace télévision, voici l'interview intégrale de Ice Mister Zaugg👇
On regarde sur Amazon Prime Video le documentaire qui passe à la moulinette en revue la vie de la pop star chère à notre coeur d'ado: «Framing Britney Spears». Aujourd'hui sous la tutelle de son père (qui accessoirement gère aussi les millions de la chanteuse OKLM) Britney fait pleurer ses fans de la première heure qui la pense totalement sous influence. Une inquiétude d'ailleurs concassée dans le hashtag #freebritney qui demande carrément sa libération.
Pourquoi il faut regarder ce documentaire? Parce que Britney Spears le mérite. Sa carrière du moins. Ses chansons aussi (quelques unes sur lesquelles on a dansé pas tout à fait sobre). Après avoir démarré sur les chapeaux de roue dans les années 90, Madame Baby One More Time a encaissé les chèques, puis les coups durs. (Rappelez-vous son pétage de plomb réalisé au moyen d'un rasoir à tifs.) A travers ce documentaire, c'est finalement toute la férocité du show-business qui est disséquée.
Moi je file réserver mes billets d'avion pour mes vacances en Israël. Ciao!