Balltze, le Shiba Inu devenu viral sur la Toile pour les mèmes «cheems», a été emporté par la maladie vendredi dernier. Depuis le début de la guerre, il est utilisé sur les réseaux sociaux pour se moquer de Poutine et de la Russie. Hommage.
Balltze (alias «Cheems» sur internet) est décédé vendredi dernier à l'âge de 12 ans. C'est ce qu'a annoncé lundi la propriétaire du célèbre Shiba Inu sur son compte Instagram.
«Cheems» souffrait depuis longtemps d'une leucémie. Vendredi, il s'est endormi pendant une ponction lombaire et ne s'est jamais réveillé, écrit sa propriétaire.
Sur Internet, le chien était devenu viral pour la première fois en 2017, lorsqu'une photo plutôt drolatique de lui avait été postée sur son compte Instagram.
Image: instagram
En peu de temps, le Shiba Inu est devenu un protagoniste de mèmes ultra-populaire. Sur la plateforme en ligne Reddit, toute une communauté s'était formée autour du canidé, dont on disait qu'il raffolait des «cheemsburgers». Les internautes l'imaginaient en outre avec un léger trouble de la parole: il avait tendance à glisser le mot «cheems» partout.
Image: reddit
Balltze était souvent taquiné à cause de sa forme amusante. Les «bonk memes» sont particulièrement populaires – dans lesquels un «Cheems» en frappe un autre à la tête avec une batte de baseball.
Image: reddit
Avec l'invasion de l'Ukraine par la Russie, «Cheems» a vu sa popularité en ligne exploser lorsque le groupe OFAN en a fait sa mascotte.
L'armée de volontaires Ofan (Organisation des Fellas de l'Atlantique Nord) combat les propagandistes prorusses et les trolls de Poutine dans leur habitat naturel: sur internet. Avec insolence et sans relâche.
Comme nous voulons continuer à modérer personnellement les débats de commentaires, nous sommes obligés de fermer la fonction de commentaire 72 heures après la publication d’un article. Merci de votre compréhension!
DeepMind, une firme du géant américain du numérique, a créé la «machine de Habermas» pour régler les conflits. Or, le célèbre philosophe allemand qui en a inspiré le nom n'a pas été mis en courant, et l'histoire s'est envenimée.
Google veut croire à une utopie: le fait que l'intelligence artificielle peut rapprocher les gens, en aidant à régler leurs conflits. A travers son département d'IA, DeepMind, la firme a lancé un outil de médiation nommé la «machine de Habermas», en référence au philosophe et sociologue allemand de renommée mondiale, Jürgen Habermas.
