Le philosophe et homme politique français Luc Ferry était l'invité de La Matinale de la RTS ce mardi matin. Après avoir parlé d'intelligence artificielle et de l'état du monde – il était invité pour causer de son livre IA: grand remplacement ou complémentarité –, l'essayiste a fait quelques confessions.
Le philosophe a visiblement été stimulé par la chronique croustillante de Stéphane Deleury. Ce dernier a parlé du comportement des Suisses (et de l'espèce humaine en général) en période de crise... il revenait, par exemple, sur la libido boostée des Helvètes pendant le Covid et, bien évidemment, sur le concours de raclette en Valais, alors que le monde s'interroge sur son avenir économique et social après les mesures de Trump.
Il n'en fallait pas plus pour faire réagir l'ex-ministre français de l'Education, qui a balancé quelques punchlines en mode confession:
Oui, rien que ça.
Et l'homme de lettres de ponctuer son amour aux terres helvétiques par une dose de «bah oui, évidemment». Le penseur explique que sa fille y travaille. Il ajoute:
Le motard Luc Ferry enchaîne sur son attachement pour la Suisse en rappelant qu'il parle allemand, il s'émerveille, en outre, du fait qu'«à Gandria, on est en Italie», il est fan du Tessin, des Grisons, de tout on vous dit. Et, en particulier, du mélange de trois pays en un. En une phrase:
Le reste de l’entretien revient plus sérieusement sur l’intelligence artificielle, ses effets potentiels sur l’emploi, la démocratie et notre avenir en tant qu’espèce. A écouter sur la RTS. (jah)