
Un jour après que la femme de 48 ans a été brûlée, un homme a été interpelé. (image d'illustration)Image: Shutterstock
Alors que la quarantenaire ayant été aspergée d'un produit inflammable le 20 octobre à Neuchâtel est sortie du coma un peu plus d'un mois plus tard, l'un des auteurs présumés du crime réfute, quant à lui, toute implication.
30.11.2022, 11:5330.11.2022, 12:11
La femme de 48 ans grièvement brûlée après avoir été aspergée d'un produit inflammable le 20 octobre à Areuse (NE) est sortie du coma dans lequel elle avait été plongée en hôpital. Selon les informations du ministère public relayées mercredi 30 novembre par Arc info, la police n’a toujours pas pu identifier le ou les auteurs du crime.
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L'auteur présumé conteste
Bien que les circonstances autour de l'agression de la Neuchâteloise restent nébuleuses, un homme a toutefois été arrêté le lendemain des faits. Selon les premières investigations, la victime et l'agresseur présumé se connaissaient. Mais d'après son avocate Valérie Schweingruber, ce dernier nie toute implication dans l'attaque.
«Il conteste les faits. Il dément être concerné par cette affaire. D’autres pistes sont à l’étude»
Valérie Schweingruber, avocate de l'un des agresseurs présumés de la Neuchâteloise.arc info
Aucune autre information n'a été partagée par le ministère public, peut-on lire dans le journal neuchâtelois. L'hypothèse selon laquelle «au moins deux individus» seraient impliqués dans l'affaire semble toutefois se préciser. Des équipes de la police judicaire et d'investigation numérique sont actuellement en charge du dossier. (mndl)
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