Suisse
Police

11 élèves appréhendés après une 12ème alerte à la bombe

11 élèves appréhendés après une 12ème alerte à la bombe

[Editor's note: photo mise-en-scene] A policer officer of the cantonal police of Vaud has takes hold of gun, in the foreground, while a police car is seen in the background, photographed in Cugy, ...
Image: KEYSTONE
La police a appréhendé onze personnes, jeudi, après la 12ème alerte à la bombe venue perturber les étudiants vaudois.
25.03.2021, 19:2626.03.2021, 14:59

La série des fausses alertes à la bombe se poursuit dans le canton de Vaud et surtout à Lausanne. Jeudi après-midi, deux nouveaux incidents ont été signalés, l'un à l'EPCL et l'autre à l'EPSIC, sans danger, mais avec à chaque fois une évacuation de tous les élèves. A l'EPCL, onze apprentis ont été appréhendés par la police.

Depuis le 27 janvier, c'est désormais une douzaine d'alertes à la bombe, toutes fausses jusqu'ici, qui ont perturbé des écoles, essentiellement des établissements du post-obligatoire lausannois. Mercredi déjà, la police avait dû intervenir dans deux d'entre eux.

La police a appréhendé onze personnes, des élèves-apprentis de l'EPCL, en lien avec l'incident de jeudi. Ils ont tous été emmenés à l'Hôtel de police de Lausanne pour y être interrogés, selon M. Pittet. Le porte-parole n'a pas pu donner plus de détails sur ces interrogatoires en cours. (ats)

Ceci pourrait également vous intéresser:
Avez-vous quelque chose à nous dire ?
Avez-vous une remarque ou avez-vous découvert une erreur ? Vous pouvez nous transmettre votre message via le formulaire.
0 Commentaires
Comme nous voulons continuer à modérer personnellement les débats de commentaires, nous sommes obligés de fermer la fonction de commentaire 72 heures après la publication d’un article. Merci de votre compréhension!
«Tu es grosse, personne ne veut de toi»: elle se bat et se confie
Il y a quelques mois, Ardita pesait quasimment 100 kilos. Avec l’injection amaigrissante Wegovy, elle a perdu près de 20 kilos. Mais le stigmate, lui, persiste.
«Cela aurait été impossible pour moi il y a encore quelques mois», sourit Ardita*. Elle vient tout juste de gravir les escaliers jusqu’au quatrième étage du Centre pédiatrique d’endocrinologie (Pezz) à Zurich. Dans ce bâtiment ancien, il n’y a pas d’ascenseur: seulement un escalier grinçant en bois.
L’article