Les Suisses n'ont pas été friands de bonbons, en 2020.Image: Shutterstock
Sous l'effet de la pandémie, l'industrie de la confiserie helvétique a vu ses volumes et son chiffre d'affaires reculer, l'année dernière.
En Suisse, la consommation de bonbons, caramels et autres dragées a baissé, à cause du coronavirus. Les treize entreprises de la branche ont écoulé plus de 34 900 tonnes de confiserie en 2020, soit 4.9% de moins comparé à l'année précédente.
Par destination, les ventes ont diminué aux Etats-Unis, en Allemagne et en France, les principaux marchés à l'exportation. Les confiseurs suisses ont principalement vendus des bonbons de sucre cuit, des confiseries moulées, des bonbons à la gelée ou en gomme, des caramels mous et des dragées. En Suisse, la consommation par habitant a quant à elle diminué à 3.03 kilos par an. (ats/jch)
Il n'y a pas que la vente de confiseries qui a souffert, celle du chocolat aussi:
Les internautes passionnés de transports publics sont en colère. Depuis quelques jours, une vague de nouveaux comptes humoristiques déferle sur les réseaux sociaux, qu'ils accusent de vouloir «ridiculiser» cette activité, qui consiste à documenter le quotidien ordinaire des bus. Une tendance qui vient de France et dont les nouveaux venus avouent s'être inspirés. On en a causé avec les deux camps. Tentative d'explication.
«On nous fait passer pour des malades mentaux!», «On va en prendre plein la gueule!», «Vous n'avez rien d'autre à faire que de vous moquer?». Contre toute attente, aimer très fort les transports publics est un sport dangereux. On ne parle pas de passer sous des essieux ou de se prendre un rétroviseur dans la tronche. Depuis mardi, une dizaine de vrais passionnés romands expriment leur grogne et s'estiment bafoués.