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En Suisse, le parlement a refusé la proposition d'une député qui souhaitait supprimer la terminologie «meurtre passionnel».
17.03.2021, 11:4617.03.2021, 12:32
Le terme «Meurtre passionnel» pourra continuer de figurer dans la loi. Cela, malgré son côté ambigu. Les partisans affirment que l’utilisation de cette expression peut avoir «un effet d’atténuation de la responsabilité de l’auteur du meurtre». Dans la loi, le terme est d'ailleurs plus neutre en allemand, contrairement au français et à l'italien.
Le vote des sénateurs en a décidé autrement, mais la question pourrait être débattue dans le cadre du projet d'harmonisation des peines (selon leur gravité), prochainement. (ats)
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Les psychothérapies à l'aide de substances psychédéliques comme le LSD et l'ecstasy sont un espoir pour les patients traumatisés sur lesquels rien d'autre ne fonctionne. Mais si l'autorité américaine de régulation reste méfiante, en Suisse, il existe désormais une recommandation thérapeutique pour les exceptions.
Le chercheur américain Rick Doblin avait l'air choqué lorsqu'il a dû annoncer le revers de sa recherche. La consternation, partagée par ses collègues du monde entier, est liée à une décision de l'agence américaine des médicaments (FDA), rendue publique en août. L'autorité a refusé d'autoriser la MDMA – connue sous le nom de marque Ecstasy – comme méthode de traitement pour les patients souffrant de trouble de stress post-traumatique (TSPT).