Je ne travaille pas dans l'immobilier, mais j'ai un peu regardé Selling sunset et quelque chose me dit que 1,9 million de dollars pour une maison qualifié de «bungalow» par le New York post, c'est un peu surestimé, non? Faut que j'en parle avec Jason Oppenheim...
C'est en tout cas à ce prix que Justin Jedlica, qui se fait surnommer «Ken la poupée humaine» par les médias, mais qui se dit «artiste» sur Instagram, veut vendre sa maison. En 2016, il avait mis cette villa à louer sur Facebook (ne me demandez pas comment je sais ça). Il exigeait 150 dollars la nuit.
Même si la maison a l'air très petite sur les photos, la demeure possède quatre chambres et trois salles de bain. Il y a également un petit «jardin» et une piscine.
L'extérieur est propret. On dirait la dépendance d'une maison à Saint-Tropez. C'est mignon tout plein.
Par contre, l'arrière de la maison fait moins rêver.
Quelque chose me dit que le Stéphane Plaza américain est passé par là... ça sent le home staging.
D'après le New York post, la cheminée est à gaz. Ça fait moins rêver que des bûches, mais en même temps, à Los Angeles, c'est pas forcément très utile.
Place à la cuisine et à son mur végétal aussi naturel que le visage de Justin Jedlica.
La cuisine est ouverte sur la salle à manger, elle-même ouverte sur le salon. Côté décoration, on doit avouer que c'est assez chaleureux et convivial. Par contre, ça a l'air quand même très petit.
Côté jardin, on ne peut pas dire que Justin Jedlica a la main verte. La pelouse est inexistante et ce qui est appelé «piscine» ressemble surtout à un trou avec de l'eau. Il y a aussi un jacuzzi dans lequel on n'a pas envie de savoir ce qu'il s'est passé.
Comme je vous le disais, le jardin mérite un peu d'entretien. Mais bon, tout est possible, hein! Je verrai bien un grand acacia à la place de cette petite table.
Justin Jedlica a acheté cette maison en 2016 pour 1,32 million de dollars. Il est connu pour avoir subi quelque 1000 interventions de chirurgie esthétique depuis qu'il a 18 ans. Il en a 42 ans aujourd'hui. Justin est apparu dans le premier épisode de Botched en 2014, cette télé-réalité qui suit deux chirurgiens plastiques dont la mission est de rattraper le carnage après certaines opérations ayant mal tourné.