Des délégations d'Egypte, du Qatar et de Turquie - médiateurs du cessez-le-feu à Gaza avec les Etats-Unis - se sont réunies mardi au Caire pour examiner la deuxième phase de l'accord, selon un média affilié à l'Etat. Les discussions qui ont réuni les chefs des renseignements égyptiens et turcs ainsi que le Premier ministre qatari ont porté sur la coordination avec Washington pour «la réussite de la mise en oeuvre de la deuxième phase de l'accord de cessez-le-feu» entre Israël et le Hamas, selon Al-Qahera News.
Les médiateurs ont «convenu de continuer à renforcer la coordination et la coopération avec le Centre de coordination militaro-civil (CMCC, chargé de surveiller le cessez-le-feu et de préparer la transition à Gaza), selon la même source. L'Egypte, le Qatar, la Turquie et les Etats-Unis jouent à la fois les médiateurs et les garants de la trêve fragile entrée en vigueur le 10 octobre après deux ans de guerre, que le Hamas et Israël s'accusent mutuellement de ne pas respecter.
Les discussions menées mardi ont évoqué les moyens de »lever les obstacles et limiter les violations afin de préserver la trêve", selon Al-Qahera News. Cette réunion au Caire intervient deux jours après la visite d'une délégation du Hamas, venue s'entretenir de cette deuxième phase avec le chef du renseignement égyptien, Hassan Rachad.
De nombreux détails sont restés en suspens après la signature de cessez-le-feu, en particulier concernant le calendrier de la mise en oeuvre des différentes étapes et le déroulé de ces dernières.
L'accord prévoit le déploiement dans le territoire palestinien d'une Force de stabilisation internationale, qui doit être composée en majorité de pays arabes et musulmans, pour y superviser la sécurité à mesure que l'armée israélienne s'en retirera. De son côté, le ministre égyptien des Affaires étrangères Badr Abdelaty a insisté mardi, lors d'un discours devant la Chambre de commerce américaine au Caire, sur la nécessité de la formation de cette force et souligné les efforts de l'Egypte pour garantir l'accès de l'aide humanitaire, toujours restreinte, dans la bande de Gaza.
Depuis l'entrée en vigueur le 10 octobre de la trêve à Gaza, les tirs israéliens ont fait au moins 345 morts, selon les derniers chiffres du ministère de la Santé sous autorité du Hamas.
Les médiateurs ont «convenu de continuer à renforcer la coordination et la coopération avec le Centre de coordination militaro-civil (CMCC, chargé de surveiller le cessez-le-feu et de préparer la transition à Gaza), selon la même source. L'Egypte, le Qatar, la Turquie et les Etats-Unis jouent à la fois les médiateurs et les garants de la trêve fragile entrée en vigueur le 10 octobre après deux ans de guerre, que le Hamas et Israël s'accusent mutuellement de ne pas respecter.
Les discussions menées mardi ont évoqué les moyens de »lever les obstacles et limiter les violations afin de préserver la trêve", selon Al-Qahera News. Cette réunion au Caire intervient deux jours après la visite d'une délégation du Hamas, venue s'entretenir de cette deuxième phase avec le chef du renseignement égyptien, Hassan Rachad.
De nombreux détails sont restés en suspens après la signature de cessez-le-feu, en particulier concernant le calendrier de la mise en oeuvre des différentes étapes et le déroulé de ces dernières.
L'accord prévoit le déploiement dans le territoire palestinien d'une Force de stabilisation internationale, qui doit être composée en majorité de pays arabes et musulmans, pour y superviser la sécurité à mesure que l'armée israélienne s'en retirera. De son côté, le ministre égyptien des Affaires étrangères Badr Abdelaty a insisté mardi, lors d'un discours devant la Chambre de commerce américaine au Caire, sur la nécessité de la formation de cette force et souligné les efforts de l'Egypte pour garantir l'accès de l'aide humanitaire, toujours restreinte, dans la bande de Gaza.
Depuis l'entrée en vigueur le 10 octobre de la trêve à Gaza, les tirs israéliens ont fait au moins 345 morts, selon les derniers chiffres du ministère de la Santé sous autorité du Hamas.
