International
Etats-Unis

Produits pharmaceutiques: Trump évoque une surtaxe de 250%

Produits pharmaceutiques: Trump évoque une surtaxe de 250%
Keystone

Produits pharmaceutiques: Trump envisage une surtaxe de 250%

La surtaxe que le président américain veut imposer sur les produits pharmaceutiques entrant aux Etats-Unis pourrait atteindre 250% dans un an, a-t-il déclaré.
05.08.2025, 15:1105.08.2025, 15:13
Plus de «International»

Le président américain Donald Trump a affirmé mardi que la surtaxe qu'il compte imposer sur les produits pharmaceutiques entrant aux Etats-Unis pourrait d'abord être «basse», avant de grimper jusqu'à 250%.

«Nous allons, d'abord, mettre un droit de douane bas sur les produits pharmaceutiques, mais, dans un an, un an et demi maximum, cela sera 150% et ensuite ce sera 250% parce qu'on veut des médicaments fabriqués dans notre pays», a déclaré le chef de l'Etat dans une interview à la chaîne de télévision CNBC.

Réduire le prix des médicaments

La semaine dernière, le locataire de la Maison-Blanche avait envoyé des courriers à 17 entreprises pharmaceutiques pour leur demander de baisser les prix des médicaments vendus aux Etats-Unis.

«Si vous refusez d'agir, nous déploierons tous les moyens à notre disposition pour protéger les familles américaines contre les pratiques abusives en matière de prix des médicaments», avait notamment écrit Trump dans ces missives, quasiment identiques.

Le 12 mai, Donald Trump avait annoncé un plan pour réduire les prix des médicaments aux Etats-Unis en les alignant sur ceux payés par d'autres grandes économies, une promesse qu'il n'avait pas réussi à tenir lors de son premier mandat. (afp/asi)

Le monde merveilleux du cervelat
1 / 12
Le monde merveilleux du cervelat

Des cervelats à l'ail et à la sauge

source: fooby
partager sur Facebookpartager sur X
Ceci pourrait également vous intéresser:
2 Commentaires
Votre commentaire
YouTube Link
0 / 600
2
Le sexe de votre bébé est moins aléatoire que vous le pensez
Fille ou garçon, un simple hasard? Une nouvelle étude basée sur les données de plus de 58 000 mères remet cela en question et démontre que celles qui choisissent consciemment le moment de leur première grossesse pourraient influencer, ne serait-ce qu’un peu, le sexe de leur enfant.
D'après un conseil répandu en France au XVIIIe siècle, celui qui voulait un garçon plutôt qu’une fille devait se nouer le testicule gauche. Dans d'autres cultures, on conseillait aux femmes de se tourner sur le côté gauche après le rapport sexuel. D’autres encore misaient sur des rapports à certaines phases lunaires.
L’article