Pour continuer à progresser en Ukraine, l'armée russe utilise de plus en plus de mercenaires étrangers. Promettant de gros salaires et la citoyenneté russe, le Kremlin a notamment recruté de nombreux Népalais. Grâce aux réseaux des mercenaires de Wagner, de plus en plus d'Africains arrivent aussi sur le front. Mais ces nouvelles troupes semblent davantage lutter contre les barrières linguistiques que contre l'Ukraine.
La plupart des mercenaires ne parlent pas russe, et les commandants russes parlent mal anglais. Cela crée des situations curieuses sur le front. Une vidéo montre un groupe de mercenaires népalais étonnamment confus, ne sachant visiblement pas de quel côté se trouve leur ennemi.
Une autre vidéo montre la formation tactique des nouvelles troupes. Dans un anglais approximatif, un commandant essaie d'expliquer aux recrues comment se comporter au combat. L'armée russe est régulièrement critiquée pour son manque de tactique et d'organisation. La barrière linguistique ne va pas améliorer la situation. (msh)