Son nom de code (rouge) est la «onzième position». Mais peut-être que vous la connaissez - ou même la pratiquez - déjà, puisque cette position sexuelle est également plus connue sous le nom du «missionnaire».
Contrairement à beaucoup d'autres, cette position ne provient pas du Kamasutra, mais du livret du Jardin parfumé. Ce document, distribué aux hommes au 15e siècle, contient entre autres toutes les figures de base qui sont importantes dans l'art de l'amour indien, et donc essentielles au Kamasutra.
Si, dans vos heures coquines, vous aimez la sensualité, la tendresse et l'intimité, alors la «onzième position» est faite pour vous.
La femme est allongée sur le dos, sur le lit ou sur une autre surface douce. Ses jambes sont légèrement écartées, ses pieds sont au choix appuyés au sol ou détendus. L'homme se couche à plat ventre sur la femme, ses jambes sont glissées entre les siennes, de sorte que les deux partenaires puissent se regarder profondément dans les yeux et s'embrasser.
Pour que son poids ne repose pas entièrement sur sa compagne, l'homme s'appuie sur ses coudes, qui se trouvent de part et d'autre de la tête de sa partenaire. Lorsque les deux sont prêts, l'homme peut pénétrer sa compagne.
Le «missionnaire» peut paraître ennuyeux pour certains, qui préfèrent le «piment» de quelques acrobaties. Cependant, cette position présente un avantage que peu de gens connaissent: il ne s'agit pas uniquement de satisfaire ses besoins sexuels; le livre Le jardin parfumé souligne que la «onzième position» permet d'intensifier la proximité et la connexion entre les deux partenaires.