19.07.2021, 19:4221.07.2021, 06:56
La proportion de femmes à l'armée est actuellement de 0,9%, si l'on en croit les derniers chiffres publiés par La Société suisse des officiers (SSO). Dans cette infime partie de la population se trouve Estelle Schwager, une Genevoise qui officie en tant que lieutenante. Du haut de ses 22 ans, la jeune femme gère une section d'une quarantaine de recrues réunissant tant des hommes que des femmes.
Si le choix professionnel d'Estelle a vu le jour par curiosité, puis par passion, la SSO a annoncé lundi 19 juillet examiner l'obligation pour toutes les Suissesses d'effectuer comme leurs homologues masculins un service militaire. A quoi ces dernières devraient-elles s'attendre si l'initiative passait? Dans ce quatrième volet de notre série «TALK», la soldate nous parle de son parcours semé certes de difficultés et d'a priori, mais surtout d’entraides et d'abnégation.
Envie de devenir soldate?
Des séances d'information concernant les recrutements suisses sont organisées chaque année par les cantons. A Genève, la lieutenante Schwager intervient afin de notamment conseiller celles qui comme elle voudraient se lancer.
Toutes les informations sont disponibles
ici.
La jeunesse suisse est inspirante! D'autres TALK qui le prouvent
Il a tenté par deux fois, le même jour, de faire passer de la viande en contrebande par la douane. Mais les agents ne se sont pas laissé rouler. Récit d'une grave erreur.
Le 21 septembre dernier (c'était jeudi), des douaniers interceptent une voiture à la frontière de Vallorbe, dans le canton de Vaud. Ils ont alors, comme le veut la coutume, interrogé le conducteur, un Suisse âgé de 45 ans, sur d'éventuelles marchandises à déclarer. Celui-ci a annoncé transporter une plante, autorisée à l'importation, ainsi que d'autres achats respectant, pour le coup, les limites de franchise en termes de valeur et de quantité. Jusque-là, c'est un sans-faute.