Les membres de la Coordination étudiante pour la Palestine (CEP) de l'Université de Genève (UNIGE), qui occupaient depuis mercredi le hall d'UniMail, ont quitté les lieux jeudi soir. La police, qui avait été sollicitée pour mettre fin à cette mobilisation, n'a pas dû intervenir.
Les étudiants sont partis dans la soirée, a indiqué vendredi le porte-parole de l'UNIGE Marco Cattaneo, confirmant une information du Courrier. Plus tôt dans l'après-midi, des membres du collectif avaient échangé avec la rectrice Audrey Leuba sur le positionnement de l'UNIGE par rapport à ses collaborations avec les universités israéliennes.
Le collectif demande à l'UNIGE de cesser immédiatement ces collaborations. Une consultation est en cours et une prise de position interviendra avant l'été, a précisé Cattaneo.
Un rapport de l'Université consacré à son rôle dans le débat public a paru en mars. Entaché de plagiat, ce document doit être retravaillé avant d'être débattu publiquement. (jzs/ats)
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Les catastrophes naturelles augmentent: voici ce qui coûte le plus cher
Les catastrophes naturelles causent de plus en plus de dégâts en Suisse. Une analyse récente d'Helvetia montre comment les dommages causés par la grêle, les éboulements, les tempêtes ou les inondations ont évolué. Au total, ils coûtent 133% de plus qu'il y a 20 ans.
Chaque année, à la mi-juin, la Suisse entre dans la saison des orages estivaux, avec des vents violents, des fortes pluies, et parfois des chutes de grêle. C’est à cette période que les phénomènes météorologiques extrêmes laissent des traces visibles à travers le pays. Une récente analyse de données du groupe Helvetia montre que les catastrophes naturelles touchent la Suisse plus souvent et plus intensément qu’auparavant.