Suisse
Police

Capsule «Sarco»: les personnes arrêtées toujours en détention

Capsule «Sarco»: les personnes arrêtées toujours en détention
Keystone

Capsule «Sarco»: les personnes arrêtées toujours en détention

La police schaffhousoise a interpellé plusieurs personnes ayant assisté à la première utilisation de la capsule à suicide «Sarco», ce lundi à Merishausen. Elles sont toujours en détention.
25.09.2024, 09:0526.09.2024, 10:08
Plus de «Suisse»

Les personnes arrêtées lundi suite à l'utilisation de la capsule d'aide au suicide «Sarco» sont toujours en détention. C'est ce qu'a déclaré ce mercredi le procureur de Schaffhouse.

On ne sait pas encore si le procureur Peter Sticher va demander la détention préventive. Il doit prendre sa décision d'ici mercredi soir, car la demande doit être faite dans les 48 heures suivant l'arrestation.

Parmi les personnes interpellées figurent le coprésident de l'organisation d'aide au suicide «The Last Resort», Florian Willet, deux avocats ainsi qu'un journaliste néerlandais présent pour suivre la première utilisation de la capsule.

Les autorités ont été informées lundi après-midi que la capsule «Sarco» avait été utilisée dans une forêt près de la commune de Merishausen. Selon «The Last Resort», une Américaine de 64 ans s'y est suicidée. L'engin a fonctionné comme prévu et a permis à cette femme de mourir sans médicaments, selon l'organisation. (ats)

Ceci pourrait également vous intéresser:
4 Commentaires
Comme nous voulons continuer à modérer personnellement les débats de commentaires, nous sommes obligés de fermer la fonction de commentaire 72 heures après la publication d’un article. Merci de votre compréhension!
4
Ce que révèle l'enquête sur la gestion financière de La Poste
Le Contrôle fédéral des finances a examiné la conformité de la Poste avec l'interdiction des subventions croisées et propose des améliorations, tandis que l'ex-régie fédérale se défend.

La Poste suisse, reconnaissable à son emblématique jaune, agite depuis quelques années le débat public. De plus en plus de critiques soupçonnent l’entreprise publique d’utiliser les recettes issues de son monopole sur le courrier pour financer des activités déficitaires sans lien avec son cœur de métier. Ce que La Poste réfute catégoriquement.

L’article