«Franchement, la première classe, ça devrait être remboursé par l'assurance maladie. Les gens en deuxième classe me rendent malade, ça me file des palpitations de fréquenter le peuple dans le train.»
Marie-Adèle n'aime pas devoir partager son espace vital avec les pendulaires des CFF. Chaque jour, matin et soir, la pauvre vit un enfer. Dommage pour elle que personne n'ait encore songé à lui offrir l'abonnement en première classe. Ça ferait des vacances à tout le monde. On se cotise?