Rien ne va plus chez les Beckham. Le clan parfaitement soudé il y a quelques mois est en train de perdre pied, à tel point qu'on a l'impression d'assister à un éclatement familial façon «Meghan et Harry».
La faute à qui? A Brooklyn Beckham et à sa femme Nicola Peltz, fille du milliardaire américain Nelson Peltz. D'abord, il y a eu des chamailleries lors de leur mariage, notamment à cause de la robe. Elle devait être signée Victoria Beckham, mais, faute d'être finie à temps, la mariée avait finalement dû se rabattre sur une Valentino haute couture (la pauvre).
Puis, ils ont fait une absence remarquée lors des 50 ans du paternel David Beckham le 31 mars. Selon les sources de People, «Brooklyn ne voulait pas être dans la même pièce qu’elle, et il l’a dit à son père. Mais David a préféré que Kim soit là plutôt que Nicola.» Puis, nulle trace du couple lors de l'anniversaire de Victoria Beckham le 17 avril. La situation est si électrique que Brooklyn et Nicola ont engagé l'avocate britannique Jenny Afia. Cette dernière est connue pour avoir défendu Meghan Markle et le prince Harry.
On apprend désormais grâce au Daily Mail que le frère de Brooklyn, Romeo, 22 ans, aurait rompu avec sa petite amie Kim Turnbull, 23 ans, avec qui il sortait depuis le mois de novembre. Quel est le rapport? Encore la faute de Brooklyn. Il la connaît depuis longtemps. Il serait tombé sous son charme par le passé et la soupçonnerait de s’être rapprochée de Romeo par intérêt. Nicola a rajouté une couche en accusant Kim d'être à l'origine de la querelle qui déchire la famille Beckham.
Pour autant, ils n'auraient jamais eu de relation sérieuse, selon Cruz, le plus jeune frère de la fratrie qui a essayé d'éteindre le feu en écrivant sur Instagram: «Brooklyn et Kim ne sont jamais sortis ensemble.»
Cette rupture serait-elle un moyen de se réconcilier avec son frère et avec la famille? Le chemin risque d'être long. Brooklyn ayant fait la couverture de Glamour Allemagne ce 2 juin avec sa femme, il s'est exprimé pour la première fois sur les rumeurs de conflits qui s'intensifient dans sa famille. «Il ne faut pas écouter toutes ces bêtises. Il faut faire profil bas, travailler dur, et rester gentil. Il y aura toujours des gens pour parler, a-t-il confié. L’important, c’est qu’on soit heureux ensemble.» Une réponse évasive qui ne suffira probablement pas à satisfaire les assoiffés de potins.