International
Birmanie

Des diplomates américains sommés de quitter la Birmanie

Des diplomates américains sommés de quitter la Birmanie

Le gouvernement de Joe Biden a promis de d
Le gouvernement de Joe Biden a promis de défendre les droits humains «partout dans le monde» a déclaré Antony Blinken, secrétaire d'État des États-Unis. Image: sda
Les Etats-Unis ont ordonné mardi à leurs diplomates «non essentiels» de quitter la Birmanie, en proie à une répression sanglante après le coup d'Etat militaire.
31.03.2021, 02:3131.03.2021, 02:31
Plus de «International»

Ces nouveaux départs font suite aux employés du gouvernement américain et les membres de leur famille en février. Cette fois-ci, les diplomates «non essentiels» sont concernés. Principalement pour raison de sécurité de ressortissants américains pendant cette période de trouble en Birmanie.

L'ambassade des Etats-Unis en Birmanie restera néanmoins ouverte au public et continuera de fournir des services consulaires limités.

Les généraux birmans poursuivent la répression meurtrière. Ils jouent la carte de la peur pour essayer d'en finir avec les manifestations en faveur du rétablissement de la démocratie.

Au moins 521 personnes tuées

521 personnes, dont beaucoup d'étudiants et des adolescents, ont été tuées par les forces de sécurité ces deux derniers mois, d'après l'Association d'assistance aux prisonniers politiques (AAPP). Ce chiffre pourrait être bien supérieur, des centaines de Birmans arrêtés ayant été portés disparus.

Les Etats-Unis et le Royaume-Uni ont annoncé une nouvelle salve de sanctions ces derniers jours. (ats)

Ceci pourrait également vous intéresser:
0 Commentaires
Comme nous voulons continuer à modérer personnellement les débats de commentaires, nous sommes obligés de fermer la fonction de commentaire 72 heures après la publication d’un article. Merci de votre compréhension!
Les tensions montent d'un cran entre l'Inde et le Pakistan
Le Pakistan, en pleine tension avec l'Inde voisine, a mené lundi un deuxième tir d'essai de missile et New Delhi a ordonné des exercices de défense civile en cas d'«attaque».

Le 22 avril, des hommes armés ont abattu 26 civils au Cachemire administré par l'Inde. Depuis, New Delhi pointe du doigt Islamabad qui renvoie l'accusation de «soutien au terrorisme transfrontalier» à son voisin.

L’article