Bouteille de Fanta d'un côté, filet-o-fish et Big Mac de l'autre, supplément frites. Dimanche dernier, c'est avec un sourire radieux et entouré de ses plus proches partenaires que Donald Trump a savouré sa pitance, à bord de Trump Force One. Il fallait bien ça, pour se remettre d'une soirée de MMA endiablée au Madison Square Garden.
On souhaite au 47e président élu d'en avoir profité, car à en croire plusieurs voix proches, les cheat meals, c'est fini. «RFK Jr. et Melania se sont ligués pour qu'il mange plus sainement», glisse l'une d'elles au Page Six.
Et autant dire que le contenu de son assiette s'apprête à connaître des bouleversements aussi drastiques que dramatiques pour l'homme de 78 ans habitué à se nourrir «comme un enfant de cinq» et à qui il faut faire avaler des légumes à force d'astuces.
Un projet qui peut prêter à sourire de la part de RFK Jr, le potentiel futur ministre de la Santé américain. Il a beau promettre de «rendre l'Amérique saine à nouveau», cela n'a pas empêché l'ancien démocrate d'empoigner hamburger et Coca-Cola pour faire bien sur la photo de famille. Le sourire est nerveux - mais la crédibilité déjà entachée comme de l'huile de palme sur une chemise.
Tous les proches l'assurent. Faire poser RFK Jr et un burger n'avait pas pour but d'humilier l'ancien rival de Trump à la présidentielle. «Ils ont fait ça pour plaisanter», assure une autre source auprès de Page Six. «RFK Jr. est un adepte d'un mode de vie sain et ne mange pas d'aliments transformés. Il déteste la restauration rapide. Il n'a probablement même pas mangé ça».
Pfiou, l'honneur du ministre est sauf.
Pendant ce temps, comme à son habitude, Melania Trump oeuvre en coulisses. On l'a dit tellement favorable au plan visant à améliorer l'alimentation de son mari qu'elle se serait même mise à… cuisiner. «Melania a parfois préparé des dîners de famille à la Trump Tower pour le président et leur fils Barron», affirme l'initié.
Connue pour «surveiller chaque bouchée», la future première dame et ancienne mannequin aurait également veillé à ce que le fiston ne suive pas les mauvaises habitudes de son père. Depuis qu'il est tout petit, le jeune homme de 18 ans se rend «au spa, s'entraîne et bénéficie de soins réguliers de la peau et des cheveux».
Une habitude qu'il tient effectivement plus de sa mère que de son paternel. (mbr)