Depuis que la fille de Nicolas Sarkozy et de Carla Bruni est sur TikTok, les polémiques ne font que s'enchaîner. Il faut dire que l'ado n'est âgée que de 13 ans, et qu'elle compte déjà quelque 40 000 abonnés. Comme de nombreux jeunes de sa génération, Guilia anime son compte grâce à des «lip sync», des petites vidéos sur lesquelles elle fait des playbacks, et participe à des live.
Son jeune âge a déjà créé le malaise à plusieurs reprises, les internautes pointant du doigt son maquillage, ses débardeurs qui laissent apparaitre le ventre, ou encore les nombreux commentaires qui complimentent son physique.
Certains détracteurs ont même estimé qu'ils étaient gênés par la sexualisation de la jeune ado, notamment après que Le Figaro a utilisé l'expression «adolescente plus femme que jamais» pour qualifier Giulia.
Ce mercredi, la jeune fille a à nouveau fait parler d'elle, pour une raison différente. Lors d'un live, Guilia a comme de coutume été bombardée de questions. Mais cette fois, l'une d'elles lui a fait perdre patience. Un internaute lui a notamment demandé: «Toujours en prison, ton père?»
Et elle, de répondre au quart de tour: «Mais vous savez qu’il n’a jamais été en prison? Je suis honnête avec vous, je m’en fous du regard des autres». Pour ceux qui ont oublié, son papa (et ancien président français, petit détail de poids) a été condamné fin 2024 à un an de prison sous bracelet électronique pour corruption et trafic d'influence dans l’affaire dite «Bismuth», dite aussi «affaire des écoutes».
Bien sûr, Giulia est une ado, et parle donc avec une grande spontanéité. Elle a rajouté:
A la personne qui lui demande: «c'est quoi le problème avec lui alors?», elle répond: «Je sais pas, c'est des gens qui inventent des trucs, des jaloux.»
Autre sujet qui a courroucé la tiktokeuse en herbe: Mouammar Khadafi, l'ancien dirigeant de la Libye impliqué dans le procès sur le supposé financement libyen de la campagne de Nicolas Sarkozy en 2007. Giulia s'est à nouveau énervée:
Petite anecdote, l'ancien dirigeant est mort un jour après la naissance de Giulia, le 20 octobre 2011. Et le procès de son père dans l'affaire des financements libyens a commencé en janvier dernier. L’ancien président est poursuivi pour quatre délits présumés: corruption, association de malfaiteurs, recel de détournements de fonds publics et financement illicite de campagne.
(jod)