Antje Kanngiesser, à la tête d'Alpiq, pense que le Conseil fédéral n'aurait pas dû réagir aussi rapidement.Image: sda
La patronne du fournisseur d'électricité estime qu'un fonctionnement à plein régime des entreprises aurait pu être évité.
23.12.2022, 05:5723.12.2022, 07:59
La directrice générale d'Alpiq Antje Kanngiesser s'inquiète pour la cybersécurité des entreprises énergétiques:
«Une cyberattaque contre des centrales nucléaires et des producteurs d'électricité aurait actuellement des conséquences dévastatrices»
«Lorsqu'un système fonctionne déjà à plein régime, il constitue une cible parfaite pour les auteurs d'attaques», a-t-elle déclaré vendredi dans les titres alémaniques du groupe Tamedia.
«La Confédération aurait dû présenter un plan de développement de la production d'électricité il y a des années déjà»
En parlant du Conseil fédéral:
Un accord sur l'électricité avec l'Union européenne doit être trouvé pour éviter de futures pénuries, selon la patronne d'Alpiq:
«Sans cela, la pénurie d'électricité en Suisse sera une réalité à partir de 2026»
Dans un tel cas le pays deviendrait toutefois plus résilient et la décarbonisation serait accélérée, précise-t-elle. (ats/jch)
La loi fédérale sur l’assurance-maladie (LAMal) de 1996 promettait des primes plafonnées à 8% des revenus, mais en 2024, avec des primes doublées et des revenus stagnants, la réalité contredit cette promesse initiale.
Depuis l'entrée en vigueur en 1996 de la loi fédérale sur l’assurance-maladie (LAMal), les primes ont plus que doublé. Toutes les modifications adoptées n'ont pas réussi à freiner la hausse des coûts.