La série de films post-apocalyptiques revient au sommet de l'affiche. Après 28 jours plus tard, 28 semaines plus tard, place à 28 ans plus tard. Le club des 28 compte un nouveau membre et Danny Boyle est attendu au tournant dès le 18 juin, pour sa sortie mondiale dans les salles.
Pour mettre sur pied ce projet, Boyle s'est appliqué à filmer avec des caméras très chères, mais également avec des iPhone.
Comme Steven Soderbergh ou encore Sean Baker, il s'est aussi lancé dans l'expérience cinématographique à travers le téléphone portable. Plus facile à manier, moins lourd, l'iPhone propose des images à couper le souffle. Et pour ce film, il lui fallait pas mal de moyens matériels pour capturer l'image qu'il désirait. Par conséquent, il avait besoin de plusieurs caméras sur un seul support.
Pour ce faire (et pour limiter les frais), Danny Boyle a décidé d’utiliser des iPhone 15 Pro Max, pour composer avec des images tournées avec une caméra classique. Selon lui, il est impossible de faire la différence entre les deux processus visuels.
Danny Boyle s'est longuement épanché dans le média IGN, pour évoquer les différentes méthodes de réalisation. Il s'est même montré très heureux de la mise en scène et du dispositif technique pour son film.
Toujours selon les dires de Boyle, cette méthode offre une grande flexibilité en termes de lumière et une facilité d'utilisation lors des tournages en extérieur. Ce dispositif offre aussi une vision à 180 degrés d’une action.
Pour terminer, le cinéaste explique que les plans filmés avec les iPhone sont surtout réservés aux scènes violentes «pour en souligner l’impact». Une immersion totale qui viendra terroriser les salles obscures le 18 juin. (svp)